Il me prend par la taille, nous marchons sans un mot. Il est sacrément costaud. Il m'emmène dans une petite rue où il y a moins de passants. Il me roule une pelle en enfonçant sa langue au fond de ma bouche. Il me viole la bouche mais j'aime ça. J'enroule mes bras autour de sa nuque. Mon rouge à lèvre rouge tapisse son visage. Nous continuons à nous embrasser goulument. Il me plaque d’un seul coup dans le recoin d’un magasin, passe ses 2 mains sous mon manteau de fourrure et attrape mon sexe qu’il malaxe à pleine main. Il a compris que j'étais une femme un peu spéciale. Nous n'avons pas encore échangé un seul mot. Il me reprend par la main, me demande de le suivre. Nous passons un porche et débouchons dans une petite cour d'immeuble quasimment pas éclairée. Il me tire vers un recoin encore plus sombre derrière des massifs de fleur et une petite cabane où l’on range les poubelles. L’excitation de rencontrer quelqu’un est encore plus forte. Visiblement, il connait bien cet endroit. Il recommence à me peloter et me demande de lui faire une petite gaterie (enfin ses premières paroles). Je lui obéis, m'agenouille dans la pénombre, déboutonne son jean et fait sortir son sexe de belle taille. Il sent la transpiration mais je m'exécute, sort un préservatif de la poche de mon manteau (je suis toujours prévoyante en soirée) complètement excitée. Je lui enfile le présa avec ma bouche en le déroulant jusqu’à la base. Il est déjà gros.Je lui ensère sa hampe avec mon large col de fourrure et ma longue écharpe de laine, le tout avec mes mains gantées, je le branle tout en lui titillant le bout de son gland avec ma langue. J'avais remarqué que ma tenue lainage + fourrure ne le laissait pas indifférent, de la manière qu’il m’avait déjà pelotée. Il aime ça, je le regarde dans la pénombre. Son sexe continue à grossir. Je commence maintenant à enfourner sa bite dans ma bouche et je le pompe généreusement. J'astique son gland à grandes lampées et je lui fais même une de mes petites spécialités, une gorge profonde que j’ai du mal à réaliser tellement il est gros, j’enfourne avec du mal tout son engin jusqu'au fond de ma glotte. Mes machoires me font mal. Il prend ma tête à 2 mains et vient taper au fond de ma gorge. Je ne peux plus respirer. Il accélère et ses soupirs de délice me montrent qu'il adore. A suivre ...