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Presqu’en même temps, après un cri de jouissement sorti de sa gorge, il se retire, me retourne vivement, il a pincé sa queue, enlève le présa et éjacule sur mon visage, le premier jet de son sperme visqueux et épais dégouline sur mes yeux puis sur le col de mon manteau de fourrure. Ça l’excite, il essuie copieusement son sexe sur mon visage et me badigeonne de sperme mes lèvres. Il me force de nouveau à le prendre dans la bouche. Je m’exécute (je sais je prend des risques), j’ensère son sexe avec mes gants, il vient taper dans ma bouche et son jus coule encore, je n’en peux plus. Il a pris son pied moi aussi. Il se retire, essuie ses mains sur mon manteau, reboutonne son fut, me reroule un palot en me tapotant les fesses, me glisse sa carte dans la poche de mon manteau avec un « Ma belle salope de bourgeoise, c’est sur, tu es un bon coup ! » et s'enfuit dans la nuit noire me laissant dénudée dans le froid mais ravie. Je récupère tous mes vêtements et accessoires qui jonchent le sol : le string, la robe pull, le cardigan et mon écharpe. Je réajuste mes faux seins dans la guépière. Je ne ressemble plus à grand-chose. Heureusement, j'ai toujours dans mon sac un petit nécessaire de nettoyage et de maquillage. Je m'essuie le visage, mon sexe avec des lingettes, essuie le sperme de mes gants et du manteau. Je me rhabille et me refait une beauté avec mon petit miroir. Mon écharpe et mon col en fourrure sentent encore son sperme. Je m’asperge copieusement de parfum avant de repartir. C’est clair, j'ai sacrément mal au cul et je sens le sexe à plein nez malgré le parfum. Mince, c'est déjà 20 heures 30 et je suis plus qu'à la bourre pour la soirée. J'appelle mes copines, leur explique vite fait le pourquoi de mon retard, elles comprennent. C’est sûr maintenant plus personne ne m’arrêtera, quoique, ... Quel samedi. Fin