Montré 1351 à 1360 de 1401 Articles de blog.
lea
1113 vues · 5108 jours avant

UN MATIN :

ELLE :

« Eh bien, nous allons commencer. Tout d’abord il me faut du sperme, c’est pour toi... Compris ? Je veux du sperme ! Tu fais comme tu veux mais ce soir tu me remplis un verre. C’est la seule chose que je te demande, tu n’as qu’à te branler si tu n‘as pas d‘autre solution. Je vais avoir besoin de semence gluante pour cette nuit. Allez au boulot, ce soir apporte-moi un verre plein de sperme et toi complètement vidé. Brave bête ou plutôt… petit pédé. Tu as toute la journée pour me le préparer ! »

lui :

- Oui, Maîtresse

LE SOIR AU JOURNAL DE 20 H : CAP !

ELLE :

- Eh bien maintenant que nous avons une belle grosse dose dans le verre, tu peux commencer à t‘habiller. Tu mets une robe, des bas, des chaussures, un string et tu vas te maquiller, comme la salope que tu es… Je te veux en pute ! Prends ton temps, de sorte que tu sois bien excitée. Je sais que tu t’es vidée de tout ta sève mais tu dois apprendre à être disponible pour moi, à tout moment. Si tu veux être ma pute du dois travailler, travailler et travailler sans jamais perdre l'envie. Lorsque tu es prête reviens me voir pour l'inspection.

lui :

- Oui, Maîtresse

2214 vues · 5111 jours avant

La semaine suivante je revins donc et en sonnant à la porte je ne savais pas comment elle allait faire.

En entrant elle dit qu'une amie serait la pour prendre le thé et que je devrais la servir, elle me donna l'ordre de me mettre nu et me donna ma tenue de soubrette une fois habillé elle me donna des souliers pour les mettre ils étaient à ma taille, et me dis les talons sont pas très hauts mais tu dois apprendre à marcher avec aller montre moi. J'allais et venais, tu dois dandiner des fesses mes le pieds plus à l'intérieur à chaque fois. Après 5 minutes elle me penchait en avant et me mit un plug dans les fesses. Il était un peu plus gros. Elle me demanda de marcher encore. La sonnette tinta, Madame me donna l'ordre d'aller ouvrir et d'amener l'invitée au salon.

J'avais un peu de trac en ouvrant, Une belle dame entra et en même tant que je saluais l'invité elle mit une main sur mes fesses et me dit "bonjour Pat tu es ravissante". J'amenai L'invitée au salon et allait préparer le thé. Une fois servie Madame m'ordonna de me mettre à 4 pattes la tête à la hauteur des genoux de l'invitée en m'ordonnant de la lécher.

Je relevais sa jupe et enlevais son slip pour la lécher. Elle appuya ma tête sur son sexe et rythma ma tête. Pendant ce temps Madame jouait avec le plug en le faisant entré et sortir. Tout en parlant avec l'invitée Madame me mit un god et je senti ses cuisses contre mes fesses et commença à me sodomiser. Elle me parlait et je faisais oui de la tête au fur et à mesure que fusait les questions. "Tu aimes sucer, tu aimes la sodomie, tu veux une vraie queue." L'invitée commença à jouir dans ma bouche en me traitant de bonne lécheuse. Après un bon pilonnage Madame se retira et l'invitée voulu faire la même chose avec le god. Elle se mis à me pilonner de plus en plus fort en me traitant de salope. Fatiguée elle se retira et m'obligea à lécher le god. Madame regardait la scène et me tapotait les couilles en me félicitant. Un peu plus tard quand l'invitée fut parti Madame me remis le plug en place comme cadeau que je devais toujours porter quand je viendrai chez elle. En partant tout en me regardant droit dans les yeux elle me dit "Mercredi prochain j'offre ton cul à un homme tu as intérêt d'être présente.

Pat

2663 vues · 5113 jours avant

Je revins donc. une fois entrée dans son appartement elle me conduisit dans une chambre et d'une voix sévère m'ordonna de me mettre à poil.

Une fois nu elle me regarda devant et derrière. tu es peu poilu c'est bien mais je te veux imberbe du sexe et des fesses. La prochaine fois tu devras te raser le sexe et les boules ainsi que l'entrejambe. Elle s'assit et tout en me pelotant les boules Elle m'exposa les taches ménagères avec avant le changement d'une prise électrique.

Elle prit dans une armoire une jupe noire et un chemisier blanc que je passais sur moi. Elle me tendit un porte-jarretières avec des bas noir.

Elle me tendit des souliers mais la taille n'allait pas, elle me promis la prochaine fois que je serai avec des souliers et que pour aujourd'hui ca irait sans. Je mis un petit tablier blanc. Et Elle me dit " maintenant tu es Pat ma boniche et je fais ce qui me plait de toi, allez au travail"

Ainsi vêtue je fis tout ce qui m'avais était demandait. elle inspectait mon travail et rectifiait ce qui n'allait pas. étrange sensation de porter cette tenue sans slip, Et de la sentir dans mon dos pendant mes taches ménagères. Elle me complimentait sur mon travail par des caresses de plus en plus précises sur mes fesses en disant tu as un joli cul je vais bien m'amuser avec, tu vas aimer ca Pat. Elle me mis un petit plug dans l'anus. Et tout en faisant mon travail je fus godée. Après plus de 3 heures de taches ménagères elle me permis de venir à coté d'elle et elle m'enleva le god. et elle en remis un, un peu plus gros elle s'amusait à entrer et sortir de plus en plus vite en m'ordonnant de ma branler ce qui arriva c'est que je joui plus rapidement dans ma main elle m'ordonna de tout lécher. quand tout fut propre elle m'ordonna de me rhabiller. Une fois prêt à partir elle me raccompagna à la porte et me dis que je progressai bien et comme récompense je serai sodomisé par un god à ceinture.

Pat

2400 vues · 5113 jours avant

donc la semaine suivante je sonnais à la dite heure, elle me pria de la suivre et de faire la vaisselle. Elle me tendit un tablier en me disant d'enlever mon pantalon pour ne pas le salir. Je me retrouvais ainsi en culotte et en chemise avec ce tablier je commençais la vaisselle, elle me surveillait en me donnant tel ou tel conseil tout en me tapotant les fesses. La vaisselle fini et essuyé elle me demanda de passer l'aspirateur sous la table de la cuisine et au salon. Une fois fini elle me fit venir au salon et me complimenta sur mes qualités. Pour récompense elle me fit prendre une pose cambré et releva mon tablier et commença à me peloter les fesses en me disant de me caresser le sexe doucement. Elle voulait savoir si j'aimais bien mon travail chez elle. je dis oui. Pour récompense elle me mit un doigts dans les fesses en disant que la prochaine fois je devrais porter une tenue spéciale. Son doigt dans mes fesses me fouillait sans ménagement et me demanda de jouir maintenant. Et je jouis. N'ayant pas de mouchoir elle passa sa main sur mon sexe pour l'essuyer. Elle m'ordonna de me mettre à genoux et de sucer ses doigts plein de ma semence, un à un elle mit ses doigts dans ma bouche. Elle me regardait droit dans les yeux en me traitant de petite salope. Quand tout fut propre elle m'ordonna de partir en me disant " si tu reviens la semaine prochaine tu seras ma boniche à toi de choisir.

Je revins donc la semaine d'après.

Pat

3105 vues · 5113 jours avant

Il y a quelques années j'avais répondu à une annonce de ce type" femme cherche jeune homme à tout faire sur Genève". C'était dans une revue coquine.

Ayant répondu je fut surprit d'avoir une réponse avec un téléphone.

Je fit donc le numéro et une dame me fixa rendez vous dans un café-bar de Genève et me demanda d'être précis. Je me rendis avec 15 minutes d'avance pour ne pas être en retard. à l'heure dite une dame distinguée entra et me levis pour l'accueillir. Après quelques minutes de discussion elle me pria de la suivre et à quelques pas elle me fit entrée dans un bel appartement. Elle voulait voir si j'étais bien la personne à tout faire. Elle me demanda de changer une ampoule, puis de monter un petit meuble à monté soit même. Pendant 20 minutes j'assemblais les pièces, elle était toujours derrière moi et me complimentait sur mon travail et mes fesses. Une fois fini elle se colla contre mes fesses et me demanda de me plier en deux à m'appuyant sur le meuble en me disant je vais te remercier pour ton travail. Elle défit mon pantalon et me mit les fesses et le sexe à l'air, puis tout en me massant les testicules avec une main et l'autre en me pelotant les fesses elle me demanda si je voulais revenir faire d'autres petits travaux domestiques. Je dis oui sans même réfléchir. Alors elle me fit jouir en me complimentant sur mes fesses. Elle me donna un mouchoir en papier et me pria de me rhabiller et me donna rendez vous pour la semaine suivante. Je partis avec mon slip plein de bonnes odeurs. Et je revins la semaine suivante.

Je vous dirais la suite plus tard

Pat

3928 vues · 5120 jours avant

Enfin j’avais enfilé aux pieds les prodigieux escarpins vernis noirs Tribute d’YSL avec leur cambrure et une finesse de talon extraordinaire de 14 cm.

Pour finir, par cette soirée d’hiver, j’avais passé mon 7/8ème en zibeline marron chocolat. J’avais choisi ce manteau car il était assorti à ma tenue et de plus il m’arrivait à mi-genoux ce qui permettait de dévoiler la cambrure et la hauteur de talon de mes Tribute et le galbe de mes jambes gainées de noir.

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Vous trouverez par ailleurs une photo dans mon album qui récapitule tous ces atours.

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Le défi était bien là car j’avais énormément de mal à me déplacer ceci dû à l’addition des difficultés : mini-jupe très moulante, corset qui m’empêchait de respirer tellement ses crochets rentraient dans mes chairs en me comprimant la taille et enfin les escarpins Tribute avec leur hauteur et cambrure que seul un mannequin pouvait supporter. Je m’étais pourtant entrainer des heures entières à marcher chez moi avec ces Tribute mais là il fallait assumer.

Je me regardais une dernière fois dans la glace de mon dressing : j’étais vraiment une belle femelle désirable ce soir. Mon maquillage et le chignon renforçant encore plus cette sensualité.

J'enfilai mes longs gants en cuir marron opéra assortis à mon manteau, qui montent largement au dessus du coude.

La porte claqua derrière moi et je dus affronter mon 1er défi : descendre l’escalier jusqu'au rez de chaussée.

Il était 22h en semaine donc peu de chance de rencontrer quelqu’un.

Je dus dézipper la fermeture avant de ma mini-jupe afin de pouvoir poser le talon sur la 1ère marche.

Je descendis l'escalier doucement marche après marche et je me retrouva enfin dans la rue.

Un vent glacial soufflait et j’enfila la capuche de mon manteau sur la tête pour protéger mon chignon.

Je marchais doucement, la cambrure vertigineuse de mes Tributes tendait encore plus ma croupe moulée dans ma mini-jupe que j’avais dû légèrement dézipper devant et derrière afin de pouvoir quelque peu allonger le pas, ma mèche de cheveux volait, je souffrais mais j’assumais ...

3751 vues · 5120 jours avant

Ce soir là, j’avais décidé de me faire une soirée ciné tranquille près de chez moi, à la 2ème séance, en femme bien sûr mais je m’étais fixé quelques défis pour cette soirée.

J’avais commencé par me faire belle tout d’abord : épilation complète du corps, j’avais enduit ensuite mon corps entièrement d’une crème parfumée hydratante puis un beau maquillage charbonneux tape à l'oeil avec un dégradé de noir (rappel de mes escarpins noirs), de marron clair (rappel de mon ensemble en cuir) et de blanc ornait mon visage, enfin de très longs faux ongles manucurés que j’avais recouvert avec un vernis à ongle Chanel marron chocolat et son rouge à lèvres assorti.

J’ai un ami et amant coiffeur intermittent du spectacle qui m’a appris à retravailler mes perruques, en particulier à sculpter un chignon à partir d’une longue perruque. J’avais donc un volumineux chignon qui surmontait ma perruque brune avec une longue mèche noire qui retombait négligemment sur la figure près de mon oeuil droit qui accentuait ce côté sexy femme fatale. Bas noirs, porte-jaretelles avec des petits noeuds de satin rose sur les côtés, un string dans lequel j’avais bien caché entre mes fesses mon petit oiseau et un soutien gorge redresse seins avec le même rappel de satin rose. Une mini-jupe en cuir façon croco beige clair Dior entièrement zippée devant et derrière, très courte et très près du corps moulait ma croupe et laissait deviner le haut de mes bas. D’autre part, un corset assorti de la même marque me comprimait la taille et mes faux-seins en silicone qui étaient aussi pris par ailleurs dans le soutien gorge redresse seins. Mes épaules dégagées et dénudées étaient enfin recouvertes d’un long gilet cachemire – angora aux manches longues chauve-souris en maille très fine Hermés du même beige clair terminées par un large bord côtes et au volume blousant, ceinturé et entièrement boutonné, retombant à mi-fesses.

J’avais accrochées 2 grandes et fines créoles argentées (diamètre 10 cm) à mes oreilles. Enfin j’avais mis un long sautoir en perles fines et ses 2 bracelets assortis à mes poignets.

J’ai la chance d’avoir une amie qui tient une boutique de dépôt – vente de vêtements et accessoires de haute couture. Elle connait ma taille et mes goûts et me met de côté ce type de vêtements très chers, des vêtements de couturiers, que je peux racheter à un prix plus accessible...

lea
1203 vues · 5125 jours avant

Il a une chatte !

Il n'y a pas de plus grand symbole pour le mâle que sa bite. C'est pourquoi j’ai tout de suite réglé ce petit problème ! Simplement en le lui enlevant de la tête... En plus je le veux sans un poil et je me moque de son truc qui pend. Il sait qu'il n'a plus aucun contrôle sur cette chose caché sous ses culottes à froufrous. Plus elle est cachée plus il est féminin et je lui parle alors de son trou du cul. Je joue avec son anus et l’oblige à coincer son truc entre ses cuisses. Devant la glace je lui montre comme il est beau en fille. Je veux qu’il me tende ses fesses et m’offre son trou du cul.

Je le flatte sur sa nouvelle apparence féminine et je sais qu’il veut désespérément que cela s‘améliore. Il va également faire tous les efforts dans ses culottes à froufrous pour avoir un look sexy et sans renflement. S’il n’arrive pas à cacher sa laideur soit disant virile, j’exige le port de la cage de chasteté. A partir de là, je peux envisager un travail sur sa démarche et ses attitudes. Je lui mets une taille de culotte ou deux plus petites, juste pour qu'il soit joli et serré et que tout soit bien rentré parfaitement où cela doit être. Plus rien n’interfère inutilement avec le fait d'apprendre à marcher et à parler comme une bonne petite femelle. Je ne devrais pas avoir à dire cela, mais ne jamais laisser sa queue...

Oups, je veux dire son truc, comme si elle pouvait encore être utilisée comme un sexe masculin. Bien sûr de temps à autre en guise de récompense je le masturbe pour le soulager. Mais il doit tout avaler !

lea
8701 vues · 5126 jours avant

Étape 1 - Sa nouvelle vie de femelle !

Bonjour ! Mon nom est Maîtresse M. Vous ne me connaissez certainement pas... Je suis la propriétaire du domaine le ... ! L'année dernière j'ai organisé un séminaire sur le thème : "Comment dresser son mari". Je dois dire que Léa mon mari a toujours été très docile. Je l'ai justement épousé parce qu'il me considère comme une Reine. Toute notre vie sexuelle est basée sur ce principe. Il est mon esclave et moi sa Maîtresse ! C’est comme cela. C’est mon petit pédé, c’est pour cela que je lui ai donné le prénom de Léa. Il respecte mes ordres et ne doit pas me désobéir. Je le tiens par la queue et son anus, de plus je sais qu’il adore ma chatte et rêve de la lécher. Il adore boire mon liquide doré et lorsqu’il a été bien sage c’est sa récompense. J’aime le voir habillé en robe, perché sur des hauts talons. Il est ma femelle maintenant et doit simplement s'habiller comme une fille. Une bonne base pour sa garde-robe c’est la lingerie. Seuls les dessous à froufrous et dentelles doivent l‘intéresser. Les tissus les plus féminins comme la soie et le satin sont ses modèles. Rubans, dentelles et mignons petits noeuds sont à l'ordre du jour. Je sais à quel point ces froufrous féminins contre sa peau nue le font jouir. Je ne me soucie pas du regard des autres. Pour l'instant il s‘attache à faire de la lingerie sa routine quotidienne et de se maintenir en jupes très courtes et talons très haut dans la maison. Plus courte est la jupe et mieux c‘est. Si je dois le sortir, je m’assure que sa garde-robe reflète son nouveau statut de petite salope. C'est tellement amusant de voir les gens essayer de deviner le sexe de Léa. Les filles à la boutique de lingerie m'aident en riant à choisir les culottes et dessous de mon mari. C’est si délicieux, mais je ne pense pas que Léa apprécie. Mais qui se soucie vraiment de ce qu’il pense ? Il est tout rouge de honte, c'est mignon ! Il n'a pas le choix de toute façon nous sommes mariés et il a signé un contrat très spécial. Il sait ce qu‘il a signé : c‘est tout simplement un contrat d‘esclavage.

988 vues · 5127 jours avant

Presqu’en même temps, après un cri de jouissement sorti de sa gorge, il se retire, me retourne vivement, il a pincé sa queue, enlève le présa et éjacule sur mon visage, le premier jet de son sperme visqueux et épais dégouline sur mes yeux puis sur le col de mon manteau de fourrure. Ça l’excite, il essuie copieusement son sexe sur mon visage et me badigeonne de sperme mes lèvres. Il me force de nouveau à le prendre dans la bouche. Je m’exécute (je sais je prend des risques), j’ensère son sexe avec mes gants, il vient taper dans ma bouche et son jus coule encore, je n’en peux plus. Il a pris son pied moi aussi. Il se retire, essuie ses mains sur mon manteau, reboutonne son fut, me reroule un palot en me tapotant les fesses, me glisse sa carte dans la poche de mon manteau avec un « Ma belle salope de bourgeoise, c’est sur, tu es un bon coup ! » et s'enfuit dans la nuit noire me laissant dénudée dans le froid mais ravie. Je récupère tous mes vêtements et accessoires qui jonchent le sol : le string, la robe pull, le cardigan et mon écharpe. Je réajuste mes faux seins dans la guépière. Je ne ressemble plus à grand-chose. Heureusement, j'ai toujours dans mon sac un petit nécessaire de nettoyage et de maquillage. Je m'essuie le visage, mon sexe avec des lingettes, essuie le sperme de mes gants et du manteau. Je me rhabille et me refait une beauté avec mon petit miroir. Mon écharpe et mon col en fourrure sentent encore son sperme. Je m’asperge copieusement de parfum avant de repartir. C’est clair, j'ai sacrément mal au cul et je sens le sexe à plein nez malgré le parfum. Mince, c'est déjà 20 heures 30 et je suis plus qu'à la bourre pour la soirée. J'appelle mes copines, leur explique vite fait le pourquoi de mon retard, elles comprennent. C’est sûr maintenant plus personne ne m’arrêtera, quoique, ... Quel samedi. Fin

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