Maintenant que j'ai emménagé dans ce quartier et que j'ai fait la connaissance de mes voisins, tout le monde est au courant de mes tendances : une travestie soumise accro à la bite et à la pisse. J'ai déjà cinq candidats réguliers qui viennent pour se vider les couilles dans ma bouche ou/et dans mon garage à bites. Comme je ne suis pas très regardant, mes habitues sont d'origine divers. Michel est un petit vieux vicelard d'une soixantaine à la queue un peu molle qui,pour compenser aime relever ma jupette d'écoliere,descendre ma culotte pour me donner une bonne fessée avant de se branler sur mon visage et de me gratifier d'une ejaculation faciale avec obligatiomn de tout avaler.

Mah-jong est d'origine asiatique et aime me bouffer l'anus, me le doigter puis me tringler l'œillet brun.

Vers 5 h du matin,j'entends la clef dans la serrure de mon appartemen. Ce doit être ma sœur qui rentre (nous habitons ensemble pour le moment) après une nuit de débauche. En effet mais au lieu de prendre une douche et de se coucher, je la vois qui se déshabillé, elle serre les cuisses pour garder en elle les liquides intimes puis elle débarrasse lesdraps, me voit en nuisette bleue et culotte de satin bleue ellem'enjambeet me dit:"Petit frangin, prêt à faire plaisir à Caroline, ta salope de sœur qui s'est fait saillir toute ta nuit!"

Alors elle écarte les lèvres de sa moule, fait dresser son sucre d'orge et se place sur ma bouche. Son minou dégouline de foutre. Elle se frotte contre mes lèvres et ma langue s'active pour nettoyer sa chatte poisseuse.

Suite demain

Chaque soir,dans l'intimité de ma chambre, je prenais plaisir à me travestir car j'aimais le contact avec le tissu soyeux des dessous de ma mère. Sauf que ce soir-là ma mère est entrée sans prévenir et m'a trouvé en guêpière noire, bas fumés et culotte de soie. Ma mère agacée par mes lubies appelle son amant du moment qui me voit en train de bander sous mon slip en soie. Alors il me déculotte et me place sur les genoux de ma mère et commence à me fesser le cul. Mais au lieu de me rebiffe, je l'encourage:"Oh oui, plus fort, rougissez mes fesses ! Mon cul est accueillant à votre fessée!" Et rout à coup je lâche le trop-plein de mes couilles sur les bas de ma mère. A suivre

Après un mois de mise en condition,Tata Simone estime que je suis prête à être mise en œuvre :je suis j'étais devenue une sissy soumise, une chienne obéissante, son plaisir de m'humilier était partagé. La promenade en laisse était une occasion pour elle de m'exhiber et régulièrement un de ses voisins s'amusait de ce manège. Souvent il m'arrivait d'avoir une envie pressante,

À vingt ans j'étais déjà fetichiste et j'avais déjà des tendances à la soumission. A cette époque ma sœur tenait un pub ou elle organisait des soirées à thème : la soirée "french cancan ",la soirée "défilé de mode ",et autres.ma soirée préférée était celle du saloon. Dans une ambiance western, les serveurs étaient tous des tapettes travesties à la disposition des clients. À l'entrée