Avant d’amener Corinne dans les saunas mixtes pour l’offrir à des mecs inconnus, je l’avais déjà initiée au libertinage dans les boites échangistes. On y allait surtout les weekends. Elle rasait toujours sa petite chatte, se maquillait très simplement mais s’habillait très sexy : string ficelle, minijupe au ras des fesses et hauts talons aiguilles. C’est vers minuit que les choses sérieuses commençaient. Les couples se retiraient soit ans les alcôves fermées, soit dans les deux grandes pièces ouvertes comportant soit plusieurs lits côte à côte, soit un grand lit rond placé au milieu. C’est sur le lit rond que Corinne s'allongeait sur les dos les jambes pendantes et les cuisses bien écartées. Les mecs se relayaient dans sa chatte sans qu’elle bouge de sa place. Après avoir pris une dizaine de mecs, elle descendait du lit et allait prendre une douche située juste à coté. On retournait au bar où le patron nous offrait des coupes de champagne gratuites. Dans toutes les boites qu’on fréquentait on avait toujours droit à des coupes gratuites car Corinne attirait beaucoup de clients, surtout des hommes seuls qui payaient le tarif fort, contrairement aux couples dont la femme était toujours invitée gratuitement. Souvent on s’isolait aussi dans une alcôve avec un couple pour échangeait nos femmes. Corinne était sans pudeur et très demandée. Ce qui m’arrangeait beaucoup car je pouvais baiser autant de femmes que Corinne prenait de mecs. La plupart des femmes appréciaient énormément ma grosse bite. Il y en a même qui redemandaient un dernier coup avant de partir. On restait jusqu’à la fermeture, vers 5 heures du matin, et on partait souvent chez les uns ou les autres pour continuer la « fête ». Corinne était insatiable, moi de même. On avait une complicité parfaite pour assouvir nos envies et désirs.

J’ai fait la connaissance de Corinne dans une brasserie de Paris où elle était serveuse. Une petite blonde aux yeux bleus avec un corps bien proportionné, de jolies fesses cambrées et une petite bouche aux lèvres serrées. Elle étai vite devenue ma maîtresse attitrée et objet de mes fantasmes. Je l’avais amenée dans la plupart des boites échangistes de Paris où elle se faisait baiser par presque tous les mecs présents. Son tableau de chasse comptait plusieurs milliers des bites mais elle en voulait toujours plus. Aussi, était-elle tout excitée lorsque je l’ai amenée la première fois dans un sauna mixte hommes-femmes. J’adorais la mettre à disposition d’inconnus qui la défonçaient devant moi.

On s’est déshabillé dans une cabine, on a mis des peignoirs et on s’est dirigé vers les douches en traversant une grande salle où une quinzaine de mecs, surtout des blacks, regardaient la télé. Quelques uns se sont levés et nous ont suivis jusqu'à l’entrée des douches. Corinne a enlevé son peignoir devant tout le monde et est entrée dans une cabine de douche sans porte. Je l’ai suivie et j’ai commencé à lui savonner les seins, les fesses et la chatte. De son coté elle a commencé à me caresser la bite et les couilles. Dès que j’ai commencé à bander elle s’est mise à genou pour me sucer devant tout le monde. Les mecs se sont rapprochés et ont commencé à se branler en exhibant leurs bites. Il y avait quelques gros calibres qui ont impressionné Corinne (qui en avait pourtant vu beaucoup d’autres dans les boites échangistes).

On est sorti des douches et on est allé dans le sauna au bout d’un couloir. Tous les mecs nous ont suivis les bites en l’air. On s’est mis sur un banc en hauteur pour que Corinne puisse les sucer sans se mettre à genou. Immédiatement des mains ont commencé à caresser ses seins, ses fesses et à chercher sa chatte. Elle a écarté ses cuisses et a commencé à gémir. Aussitôt on est allé dans une grande cabine avec 4 matelas étendus au sol. Corinne a fait signe à un grand black avec une bite énorme de nous suivre. Mais 3 autres mecs aussi sont rentrés dans la cabine. Le black a commencé à lécher sa chatte et son anus, pendant qu’elle suçait les autres. Puis elle s’est mise en levrette et a présenté sa croupe à la grosse bite du black qui l’a pénétrée d’un coup sec car sa chatte était déjà en eau. Il a voulu l’enculer aussi mais elle n’était pas encore assez chaude. Il a joui au fond de sa chatte et s’est retiré. Les trois autres se sont relayés et l’ont baisée à tour de rôle. Dès qu’ils sont sortis d’autres mecs qui attendant derrière la porte ont voulu entrer. Mais Corinne voulait faire une pause et boire un café. Elle leur a dit « à toute à l’heure » pour les faire patienter… La "fête" a repris après une pause de 15 minutes pour durer jusqu'à la fermeture...

Ce fut vraiment une soirée mémorable

On s’est donné rendez-vous un vendredi soir. Il m’a précisé le programme : « Je viendrais vers 21 heures et on passera la nuit ensemble. Je t’apprendrai les différents modes de consommation de la cocaïne, du plus soft au plus hard. Tu vas te régaler, surtout que je vais aussi inviter des copains noirs très bien membrés pour s’occuper de toi. Je leur ai déjà parlé de toi et ils ont hâte de te défoncer ». J’étais impatiente de tenter cette expérience. Dès vendredi après-midi je commence à me préparer pour la soirée.

Je prends une douche, je me fais un lavement profond pour avoir une chatte anale bien propre, je m’habille et me maquille comme une vraie pute. Quand l’heure arrive et Alain sonne à la porte je suis déjà toute prête. Dès qu’il rentre il s’exclame : « wouahhhh la belle salope » et se déshabille complètement pour prendre une douche. Mais d’abord il prépare dans une assiette plate quelques lignes de cocaïne qu’il me demande de sniffer. « Tu seras déjà chaude quand je sortirai de la douche ». J’aspire 3 lignes d’une seule traite, puis 3 autres quelques minutes après. C’était la première fois que je touchais à la cocaïne. Au bout d’une dizaine de minutes une douce sensation de chaleur envahit tout mon corps. Mon cul prend feu et j’ai très envie de bite. Je crie : « Alain, viens vite, je suis hyper chaude ». Il sort de la douche la bite en l’air et me la donne à sucer. Je me mets à genou et lui taille une pipe à gorge profonde. Il est hyper excité et me demande de me mettre en levrette sur le canapé. Je m’exécute de suite. Il me lèche l’anus, crache dessus, enduit sa grosse bite de gel et me pénètre doucement. Il me pistonne pendant une dizaine de minutes et éjacule au fond de moi. Je jouis en même temps que lui. Après ce premier coup on va à la cuisine pour fumer une cigarette et boire du whisky. La soirée continua jusqu'à 5h du matin. Alain me fit plusieurs injections de coke qui me rendirent hyper chienne. Les blacks en profitèrent pour m'enculent sans capote jusqu'au matin...

Comme chaque vendredi après-midi je suis allée dans un sauna à Montparnasse. Après la douche je me suis retirée dans une cabine en laissant la porte entrouverte. Au bout de quelques minutes un grand black est entré et a enlevé la serviette qui cachait sa bite. Quand j'ai vu sa queue en érection, j'ai eu très peur pour mon petit cul serré. Au début je ne voulais même pas qu'il me prenne! Je voulais juste me contenter d’une bonne pipe baveuse.

Mais il était trop excité par mes belles fesses blanches et tenait absolument à m’enculer. J’avais beau lui expliquer que depuis mon opération des hémorroïdes mon anus était devenu trop serré pour accueillir une grosse bite comme la sienne, il ne voulait rien entendre. Il me promettait seulement de bien me préparer et d’y aller en douceur. J’avoue que moi aussi j'avais trop envie de sa belle bite. Donc je me suis laissé faire...

Il m’a mis en levrette au bord du lit et m'a longuement préparé le cul avec ses doigts et du gel en l'élargissant au maximum. Un vrai pro du travail de cul! Quand il a pu entrer 3 doigts ensemble, il s'est levé, a enfilé la capote et m'a dit en rigolant: "ton cul est prêt maintenant, allongé toi sur le dos les jambes en l'air". Je me suis exécuté.

Il m’a attrapé par les jambes en les soulevant pour ajuster sa grosse bite à l’entrée de mon anus et m’a dit : « relaxe-toi, respire bien, j’y vais ». Et de tout son corps il s’est appuyé sur mes fesses et m'a pénétrée d'un seul coup jusqu'au fond.

J'ai eu très mal mais j'ai retenu mes cris. Il m'a regardé avec un grand sourire et m'a dit: "tu vois que ça rentre". Malgré la douleur, j'étais vraiment heureux d'avoir pu accueillir une bite pareille au plus profond de moi. Il s’est penché vers ma bouche et a commencé à m’embrasser fougueusement, tout en me pistonnant d’abord très lentement, puis de plus en plus vite et fort. Il m’a donné un dernier coup de rein et a joui avec des cris de râles...

Quand il est sorti de moi, la capote était rouge de sang. Un vrai dépucelage de femme...