ce que je veux vivre pour de vrai... suite

J’ai commencé à le sentir incontrôlable et son rythme est devenu effréné. Dans un comportement bestial, il était à présent en train de me défoncer avec une telle force que je n’ai pu rester en équilibre sur mes bras et mon visage s’est écroulé sur les draps sous les assauts virils de toute sa puissance…

Au bout de nombreuses minutes, je ne sentais plus son chibre aller et venir en moi mais seulement une immense vague de chaleur dans tout le ventre et des frissons qui remontaient du dos jusqu’à la nuque. Seuls ses coups de hanches claquant sur moi me donnait le rythme avec le lequel il était en train de me pilonner. J’avais la tête comme dans du coton ; incapable de retenir des gémissements et des sanglots de plaisir !

Tout à coup, je l’ai senti se crisper et quand il m’a dit : « ah, je vais jouir ! », je l’ai obligé à se retirer avec un déchirement de ne plus le sentir en moi et je lui ai répondu : « non, pas comme ça. Prends-moi en missionnaire ! »

Je me suis allongée sur le dos, j’ai remonté mes jambes , j’ai saisi sa verge pour la guider vers mon vaginanus et au fur et à mesure où il s’enfonçait de nouveau en moi, je l’ai enserré avec mes jambes pour l’entourer de mes cuisses autour de sa taille. Les chevilles croisées autour de ses reins, je l’ai plaqué contre moi avec mes bras et accrochée à son dos, son cou et ses larges épaules, je lui ai susurré : « maintenant, vas-y. Jouis en moi ! »

Et c’est ainsi totalement soumise dans la plus simple des positions que mon amant dans des râles de plaisirs s’est déchargé en moi m’honorant et m’inondant de sa jouissance ! Quand il a eu repris ses esprits, il m’a juste dit : « tu es incroyable. » et a plongé sa langue dans ma bouche pour m’offrir un baiser empli de volupté. Il m’a embrassé comme ça jusqu’à ce que sa verge finisse par s’échapper toute seule de mon orifice. J’ai ressenti comme un grand vide en moi mais j’étais comblée d’avoir été possédée au sens littéral par un homme. Il était là, couchée sur moi, m’écrasant de tout son corps. J’ai essuyé des larmes de bonheur que je n’avais pas senties couler et la seule parole que j’ai pu lui dire est « merci… ».

J’ai dû le lâcher avec un déchirement dans l’âme. et lorsqu’il s’est relevé, je n’ai pas pu m’empêcher de prendre son sexe tout tuméfié une dernière fois dans ma bouche pour une petite toilette amoureuse..

J’aurais voulu que le temps s’arrête mais tout a une fin…

727   10 année avant
sarah24000 | 16 subscribers
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