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Montré 6 ŕ 10 de 33 Articles de blog.
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3239   13 année avant
Soirée Discothèque (fin)

Puis nous nous sommes encore longuement embrassée goulument serrés l’1 contre l’autre.

Il m’avait fait prodigieusment bien l’amour, c’est clair il faisait partie de mes tous meilleurs amants.

Je ne sais pas combien de fois j’ai eu d’orgasme ce soir là. Il m’ avait fait l’amour comme à une vraie femme.

« Tu aimes bien te mélanger avec d’autres couples, hommes et femmes, faire une partouze, Victoria ? » dit-il en se touchant les couilles.

« Oui, pourquoi pas. » répondis-je.

« Eh bien écoute, Victoria, je t’inviterai à une de ces petites soirées que j’organise chez moi, je serais super heureux de t’avoir comme invitée et pouvoir te rebaiser à cette occasion. »

Nous échangiames alors encore nus tous les 2 nos numéros de téléphone (le sien apparait aujourd’hui dans mon carnet d’adresses avec 3 étoiles pour le retrouver plus facilement, prodigieux amant qu’il a été).

Je me suis un peu essuyé avec le nécessaire que j’amène toujours avec moi dans ma besace LV et me suis refais une beauté et remaquillé avant de renfiler ma robe tube sur ma peau nue.

Un coup de rouge à lèvre sur mes lèvres pour terminer en me regardant une dernière fois dans un des ses miroirs.

Heureuse, je me blottis enfin dans mon doux manteau de fourrure dont la fourrure était quelque peu applati.

Nous nous roulons encore une longue pelle baveuse, il en profite pour me peloter de nouveau, je lui rends la pareille en plaquant ma main sur sa braguette avant qu’il m’aide à descendre de son 4X4.

« A très bientôt Victoria, je t’appelle bébé » me fit-ilavec un clin d’oeuil.

Je montais rapidement dans ma voiture, le jour commencait à se lever doucement, seules nos 2 voitures était garées sur le parking.

J’avoue que je n’ai pas fait attenton s’il n’y avait pas quelques mateurs autour du 4X4 baisodrome malgré les vitres sans teint pour entrevoir à travers quelques reflets nos ébats sur le parking.

C’est sur que les quelques cris de plaisir et le 4X4 qui devait quelque peu remuer a dûinterroger …

Je posa ma besace au pied du siège conducteur et démarra, me regardant encore une fois dans le rétro, mon visage enfoncé dans l’épais col de fourrure relevé. Le 4X4 démarrra aussi à son tour.

J’étais fière et comblée, comme une femme après une belle nuit d’amour avec son amant.

A bientôt pour une de mes nouvelles confidences, sabletrav alias Victoria.

3893   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 11)

Il ne faisait pas frais dans le 4X4 malgré le froid hivernal dehors. En effet, il avait mis un léger chauffage et nos ébats avaient fait aussi monter la température.

Au bout d’un bon moment (je ne saurais dire tant c’était bon, j’était complètement déconnectée de la réalité, dans un brouillard de sexe et de jouissance), il me fit pivoter pour me positionner en levrette.

J’étais soumise et disciplinée, mon amant avait pris la direction des choses, depuis un bon moment.

Il plaqua mon visage dans la fourrure tout en tirant ma queue de cheval en arrière et passa ses mains sous la jarretière intégrée du collant résille ouvert.

Il plaça un coussin sous mon bassin pour réhausser mes fesses, il se réenfonça en moi immédiatement, mon anus était plus que dilaté. Il ahanait comme un taureau en me baisant comme une pute.

Je me mordais les lèvres de désir, l’incroyable douceur de la fourrure épaisse de mon manteau en renard plaquée contre ma peau faisaient monter en moi des ondes de plaisir.

Je jetais un oeuil dans le miroir et je le voyais se déchainer, me chevauchant en accrochant mes jarretières d’une main et ma queue de cheval rousse de l’autre.

J’avais l’impression que ma croupe blanche allait exploser tellement il me baisait fort.

Il tirait mes cheveux en arrière mais j’aimais ça, me faire baiser comme une salope.

Ses coups de boutoir qui s’accéléraient m’indiquait qu’il allait lâcher la puréee bientôt.

Quand je sentis qu’il était prêt à exploser, je resserais mon fourreau sur son baton.

Il se retira au dernier moment en enlevant la capote de sa queue pour m’éjaculer dessus, tout en plaquant ma tête sur la fourrure. J’étouffais, il poussa un grognement de plaisir.

J’étais en transe tellement il m’avait baisée fort.

Je passa mon bras entre mes jambes attrapant mon sexe duquel coulait encore une goutte de sperme souvenir de sa branlette de toute à l’heure.

Mon petit sexe était redevenu tout flasque. J’éjacula très rapidement de nouveau en fermant les yeux sur ma fourrure, en pleine extase, ivre de bonheur.

En m’aspergeant, il avait éjaculé sur ma croupe, je sentais sa jute épaisse dégouliner le long de mes cuisses, sur le collant résille et sur le haut des cuissardes. Hummmmmmmmm !

J’étais encore en plein dans mon orgasme qu’il me demanda de me retourner afin que je le reprenne dans ma bouche.

Je m’exécuta, pute docile et repris sa bite en bouche . Il me badigeonna le visage avec son sperme. J’avalais sa semence, bonne pute que j’étais. A suivre ...

3221   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 10)

« Laisse-toi faire maintenant. » C’est lui qui rythmait ses allées et venues en soulevant mes fesses.

Ma queue de cheval rousse dressée dans la nuit dansait en suivant ses coups de boutoir.

Vu qu’il était plus grand que moi et costaud, il n’avait aucun mal à me soulever du sol. Il m’enculait, comme on baise une poupée gonflable.

De temps en temps, il se retirait totalement de moi et réenfournait l’engin d’un seul coup jusqu’à la garde en s’agrippant à mon cul.

Il restait alors au fond de moi et continuait à pousser comme s’il voulait engloutir ses couilles en moi, je sentais sa queue au plus profond de moi et je passais mes bras sous ses cuisses tout en enfonçant mes ongles dans sa chair pour le sentir encore plus.

Il m’arrachait alors un hurlement de plaisir.

Je prenais mon pied tout en fermant les yeux et en me pinçant les lèvres.

Je tournais mon visage vers lui et nos langues avides s’enroulaient.

Je voyais mon image dans la glace, une pute soumise complètement hypnotisée par le plaisir que me procurait mon amant, cette nuit, mes petits tétons excités et dressés dans l’obscurité.

Il me souleva et me déposa sur mon manteau de fourrure déroulé sur la banquette opposée.

Ne me laissant pas le temps de respirer, il me culbuta sur la banquette en relevant mes jambes, face à lui. Il avait soulevé mes 2 jambes en me tenant par le haut des cuissardes, tout en plaquant son torse nu contre mes cuisses, ce qui m’empêchait de glisser.

Il s’empala en moi en tenant fermement mes 2 jambes plaquées l’1 contre l’autre. Dans cette position, je sentais encore plus son sexe frotter contre les parois de mon trou. Il était vraiment gros, je le sentais bien me pénétrer. C’était bon, Je gloussais de plaisir, soumise

et inondée de plaisir. Ii allait et venait dans ma chatte offerte, accentuant puis ralentissant ses coups de boutoir. Je lâchais des rales de plaisir.

Il relâcha un peu son étreinte et je pu appuyer les talons de mes cuissardes sur le haut de ses épaules, dans une position plus confortable pour moi, les talons aiguilles dorés de 15 cm tels des dagues effilées pointaient de chaque côté de sa tête.

Cette position lui permettait d’accéder plus facilement à mon petit sexe qu’il commenca à branler tout en me pincant les tétons et en continuant à me baiser.

J’éjaculais une première fois sur mon ventre.

Je pensais qu’il allait exploser sous peu en moi mais non il tenait bon et ralentissait au bon moment.

Il tapissa avec ses mains le bas de mon ventre avec mon sperme qui coulait de ma petite queue.

Un bon et bel amant. A suivre ...

2509   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 9)

C’est vrai que j’y pensais de plus en plus à cette ultime transformation. Je m’étais fait refaire des lèvres pulpeuses dernièrement et mon corps que j’avais affiné grâce à un régime

et à du fitness pratiqué en salle régulièrement s’était féminisé de plus en plus, sachant que j’ai des attaches fines de naissance.

Comme je l’ai déjà dit, mis à part à mon travail (sachant que je travaille dans le milieu de la mode où le côté féminin ne pose pas de problème), je suis une femme full time.

Donc posséder une véritable paire de seins fait partie de mes objectifs à court terme.

Pour en revenir à nos moutons, il n’avait laissé sur moi que le collier de chien qui habillait mon cou et ses 2 bracelets assortis ainsi que les 2 créoles oversize fixés à mes oreilles perforées.

Je n’étais habillée que de cuissardes et du collant ouvert en résille qui couvrait le haut de mes hanches.

Il se désappa entièrement.

Il attrapa ensuite un pot de vaseline, me demanda de me retourner et m’enduit conscensieusement mon orifice, il avait enfoncé un doigt puis 2 et il me massait l’anus avec application.

J’ondulais ma croupe de plaisir en gloussant. J’enfila enfin un préservatif que j’attrapa dans ma besace LV, pris la capote dans ma bouche puis la positionna sur le bout du gland et avec mes lèvres, la déroula le long de sa verge jusqu’à la base.

Il me demanda de s’asseoir sur lui. J’étais particulièrement intéressée par le siège qu’il me proposait

Il tenait sa queue bien raide dans les mains, j’attrapais avec ma main gauche le bout de sa bite que je positionna devant l’entrée de mon anus pendant que j’avais appuyé ma main droite sur ses cuisses

Il m’aida à m’empaler sur lui en soutenant mes fesses. Je tourna le visage vers lui, nous mélangiosn nos langues pandant que sa queue s’enfonca délicieusement et doucement dans mon fion, c’était bon. Il me pincait les tétons et je lacha un énome gémissement de plaisir quand sa queue arriva en butée ses grosses couilles plaquées contre mes fesses, ça y est mon trou avait totalement aspiré son sexe.

Je pris la direction des choses en montant et descendant sur son pénis dressé. J’ondulais de la croupe et freinait la descente, tout en plaquant mes 2 jambes l’1 contre l’autre, mes 2 mains appuyée sur ses 2 cuisses à l’arrière.

Ainsi je le sentais encore plus en moi. C’était bon.

Je me faisais baiser comme une véritable femme. A suivre ...

1954   13 année avant