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Il ne faisait pas frais dans le 4X4 malgré le froid hivernal dehors. En effet, il avait mis un léger chauffage et nos ébats avaient fait aussi monter la température.

Au bout d’un bon moment (je ne saurais dire tant c’était bon, j’était complètement déconnectée de la réalité, dans un brouillard de sexe et de jouissance), il me fit pivoter pour me positionner en levrette.

J’étais soumise et disciplinée, mon amant avait pris la direction des choses, depuis un bon moment.

Il plaqua mon visage dans la fourrure tout en tirant ma queue de cheval en arrière et passa ses mains sous la jarretière intégrée du collant résille ouvert.

Il plaça un coussin sous mon bassin pour réhausser mes fesses, il se réenfonça en moi immédiatement, mon anus était plus que dilaté. Il ahanait comme un taureau en me baisant comme une pute.

Je me mordais les lèvres de désir, l’incroyable douceur de la fourrure épaisse de mon manteau en renard plaquée contre ma peau faisaient monter en moi des ondes de plaisir.

Je jetais un oeuil dans le miroir et je le voyais se déchainer, me chevauchant en accrochant mes jarretières d’une main et ma queue de cheval rousse de l’autre.

J’avais l’impression que ma croupe blanche allait exploser tellement il me baisait fort.

Il tirait mes cheveux en arrière mais j’aimais ça, me faire baiser comme une salope.

Ses coups de boutoir qui s’accéléraient m’indiquait qu’il allait lâcher la puréee bientôt.

Quand je sentis qu’il était prêt à exploser, je resserais mon fourreau sur son baton.

Il se retira au dernier moment en enlevant la capote de sa queue pour m’éjaculer dessus, tout en plaquant ma tête sur la fourrure. J’étouffais, il poussa un grognement de plaisir.

J’étais en transe tellement il m’avait baisée fort.

Je passa mon bras entre mes jambes attrapant mon sexe duquel coulait encore une goutte de sperme souvenir de sa branlette de toute à l’heure.

Mon petit sexe était redevenu tout flasque. J’éjacula très rapidement de nouveau en fermant les yeux sur ma fourrure, en pleine extase, ivre de bonheur.

En m’aspergeant, il avait éjaculé sur ma croupe, je sentais sa jute épaisse dégouliner le long de mes cuisses, sur le collant résille et sur le haut des cuissardes. Hummmmmmmmm !

J’étais encore en plein dans mon orgasme qu’il me demanda de me retourner afin que je le reprenne dans ma bouche.

Je m’exécuta, pute docile et repris sa bite en bouche . Il me badigeonna le visage avec son sperme. J’avalais sa semence, bonne pute que j’étais. A suivre ...