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Je pris mon sac et remonta l’escalier doucement dans le noir jusqu’aux toilettes, femme bien sûr. Le carrelage brillant et encore humide m’obligèrent à faire très attention avec mes escarpins. J’ouvris la porte d’un des WC et je m’apprêtais à enlever mon manteau pour le suspendre au crochet en fermant la porte machinalement derrière moi, quand un pied qui coincait la porte m’en empecha. Je n’eus même pas le temps de me retourner et de crier qu’un coup d’épaule dans la porte me projeta sur les toilettes, tout en perdant l’équilibre. J’étais dans les vaps à moitié assommée. La porte s’était refermée à clef. Une main se plaqua sur ma bouche et l’autre me tordait le bras dans mon dos. Je poussa un gémissement et j’entendis une voix mâle très grave : « Alors petit salope, tu es une sacré allumeuse. Putain que t’es bonne, si t’es gentille, t’auras pas mal. Fermes-là et tout va bien se passer ». Je m’étais fait sacrément mal en tombant sur les toilettes et je comprenais en plus que ça allait être ma fête. Mais que faire, il était très costaud et il avait pas l’air de rigoler. J’étais terrorisée. Il remonta la capuche de mon manteau de fourrure sur mon chignon et me scotcha un bout de chaterton sur la bouche. Il s’etait plaqué contre moi et je sentais déjà la bosse énorme à travers son pantalon qu’il commencait à frotter derrière moi. Je réussi à me relever un petit peu, il relacha sa prise derrière mon dos mais attacha ma main avec des menottes à la tuyauterie des WC. J’avais vraiment peur « Tu te retournes pas. Tu me regardes pas. ça doit pas t’étonner non salope quand on est habillée comme tu l’es. Tu me fais bander comme un taureau». Il s’attaqua à ma mini-jupe en dézippant la fermeture éclair arrière et arracha l’élastique de mon string qui laissa s’échapper mon petit oiseau. « Putain c’est mon jour de chance un trav et je vois que ton fion n’est pas de toute première jeunesse, tu vas voir ce que je vais te mettre » A suivre ...