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Montré 11 ŕ 15 de 33 Articles de blog.
Soirée Discothèque (partie 8)

Puis je déboutonna sa chemise et caressa son torse velu avec mes longs ongles vernis, léchant ses tétons, tout en le regardant dans les yeux.

Ensuite je lècha entièrement sa bite en partant des couilles, remonta, titilla son gland en laissant glisser ma langue le long, de tous les côtés, faisant des va et vient le long de sa verge en salivant.

Puis je le pris en bouche lentement en descendant, petit à petit, puis en remontant.

Je le pompais avec sérieux. Il prenait son pied, ses gloussements me l’indiquaient.

Puis je ressortis, fis le tour du gland avec ma langue, descendis jusqu'aux testicules, les susotta tout en caressant avec ma main en dessous de celles-ci puis j’ accélèrais la cadence toujours en le branlant avec une main, et l'autre main qui caressait en bas.

Le contact de mes ongles, le cliquetis de mes bagues sur sa verge et la caresse de mes amples manches en fourrure la lui faisaient regonfler de plaisir.

Je le fixais dans les yeux.

Je le repris en bouche et le repompais, comme une belle salope que je suis. Puis je pris une grande respiration, fis entrer la verge dans ma bouche le long de ma langue, de plus en plus profondément jusqu’à engloutir toute la longueur de son pénis. Sa queue dépassait ma luette et entrait dans ma gorge. Il était vraiment gros mais j’aimais ça.

Ma langue plaquée sur ses couilles léchait la base de sa queue. Il plaqua alors ma tête en tirant sur ma queue de cheval dans cette position.

Une bonne gorge profonde qu’il adorait visiblement (qui ne l’adorerait pas …).

Il relâcha son étreinte et se retira de ma bouche en me demandant de me relever maintenant.

Il m‘aida à retirer mon manteau de fourrure qu’il étala ensuite sur la banquette opposée.

« Tu verras ça sera plus doux quand je vais te baiser dessus »

Il dégraffa ma ceinture en cuir et m’enleva rapidement la robe, tout en faisant glisser le haut col roulé de la robe sous le collier de chien.

Il me dégraffa le soutien gorge, ce qui libéra automatiquement les 2 faux seins en silicone.

Il me lécha les 2 mamelons de mes seins puis les pinca délicatement.

« Il te manque plus que 2 beaux implants mammaires en silicone, chérie, pour être une véritable femme. » A suivre ...

2217   13 année avant
Soirée Discothèque (partie7)

« OK alors à toi Victoria maintenant, tu vas reprendre ton travail là où tu l’as laissé, ma belle ! »

IL dézippa son pantalon, un bout de sa queue sortait déjà de son caleçon, c’est vrai qu’il avait remballé rapidement son attirail toute à l’heure dans la discothèque.

Je m’agenouilla confortablement devant lui, il fit glisser le lourd pan de mon manteau de fourrure sur un coté de mes fesse afin de mater à loisir ma croupe, pendant que j’allais le sucer.

Avant de passer à l’action, je m’apercus de dos dans un des miroirs qui équipaient le 4X4 : on voyait juste mon cul et mes jambes entièrement gainées par les cuissardes qui dépassaient de ma robe noire remontée jusqu’en haut des fesses, le haut du collant ouvert à grosses résilles noires devoilait la blancheur de ma croupe, l’ample manteau de fourrure en renard bleu glissé sur le coté drappait le reste de mon corps et les talons aiguille en métal doré se réfléchissaient dans la pénombre.

Seul un bout de la queue de cheval rousse dressée en haut de ma tête sortait du vaste col en fourrure.

Une belle pute, quoi.

Je libéra la totalité de sa bite du caleçon.

Un bel engin que je pris généreusement dans les mains. Mes doigts aux longs ongles rouges vernis s’étaient refermés sur le bas de sa verge et enserraient sa queue.

La fourrure des amples manches de mon manteau venaient caresser son bas ventre.

Je commenca à le pomper, comme une travailleuse docile que j'étais. A suivre ...

1886   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 6)

Des vitres sans teint équipaient entièrement la partie arrière de ce 4X4 et de confortables banquettes en cuir marron nous attendaient.

2 banquettes se faisaient face et il y avait un grand carré au milieu tapissé de moquettes surement propice à des ébats.

Je monta avec quelque mal, ceci dû aux talons aiguilles de 15 cm, la longue robe hyper moulante et le lourd manteau de fourrure qui entravaient ma démarche

Il m’aida tout en profitant de peloter à pleine main ma croupe.

Je pouvais preque me tenir debout à l’arrière tant l’espace était conséquent.

Il referma la porte derrière et alluma une lumière beaucoup plus discrète qui éclairait uniquement la partie arrrière.

Je m’apprêtais à me désapper quand il attrapa ma main et me demanda de me laisser faire.

« Viens approche toi, ne te déshabille pas encore. »

J’étais debout (enfin presque) face à lui.

Il souleva ma robe jusqu’en haut des fesses, attrapa mon string et le descendit délicatement jusqu’en bas de mes cuissardes, libérant mon petit sexe de sa prison de dentelles.

Il était agréablement surpris par sa découverte. « Tu es un beau petit trav, chérie, j’en étais pas sûr toute à l’heure en boite, tant tu ressembles à une femme »

Il tripota mon sexe flasque délicatement, me fit retourner, glissa un doigt dans mon petit trou.

Je réagis immédiatement en poussant un gémissement de plaisir.

« Je m’occuperais de toi après, bébé. »

« C’est quoi au fait ton petit nom ? » A suivre ...

1830   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 5)

Le DJ entama sa série de slows, tout en baissant la lumière.

L’homme me prit par la main, m’entrainant sur la piste.

J’enlaçais mes bras autour de son cou, il déposa ses mains sur ma taille. Dans la pénombre, il descendit rapidement ses mains sur ma croupe qu’il caressait.

Nos corps serrés tournaient tendrement sur la piste au son d’un slow bien langoureux.

Il chercha mes lèvres, sa langue glissa doucement sur mes lèvres puis dans ma bouche. Nos langues se mélangeaient, mes longs ongles manucurés s’enfoncaient doucement dans ses chairs.

Je passa mes ongles délicatement dans ses cheveux en le massant. Il continuait à me caresser de haut en bas la croupe.

J’avais senti que ces prémices amoureux l’excitaient, la bosse de sa bite que je sentais contre moi me l’indiquait clairement.

Après 2 slows, il m’amena sur un canapé où nous continuèrent notre pelotage, dans l'obscurité.

Je posa ma main délicatement sur la fermeture éclair de son pantalon que je n’eus aucun mal à dézipper, tout en continuant à nous rouler des pelles de plus en plus baveuses et appuyées. Ma main s’engouffra dans l’ouverture bombée, je sortis l’engin discrètement de son calecon et commenca à le branler. Mes longs doigts manucurés avaient entamé un mouvement de va et vient en serrant sa queue. Il aimait cela.

Il me glissa dans l’oreille : « Viens, on va continuer dans un endroit plus tranquille ». Il attrapa ma main tout en rangeant son attirail discrètement et m’amena vers la sortie.

Je fis un petit signe à mes copines, passa au vestiaire récupérer mon manteau. C’était un gentleman et il m’aida à enfiler ma lourde et massive fourrure, nous sortimes sur le parking.

Le froid piquait, j'avais pris son bras et avais resserré mon manteau sur moi en relevant le gigantesque col de fourrure qui me cachait presque tout le visage, des couples arrivaient et un des hommes me dévisagea admiratif. C’est vrai qu’avec mon look, je devais ressembler à une call girl ce soir.

Mon amant sorti de sa poche de veste une clef de voiture et fit claquer l’ouverture automatique des portes. A suivre ...

Un gros 4X4 noir clignota dans l’allée. Il ouvrit la porte arrière et me fit rentrer la 1ère.

1984   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 4)

Je garais ma mini sur le parking près de l’entrée du dancing.

Le videur que je connaissais me fit un grand sourire et nous nous fimes une petite bise.

« Toujours aussi classe et belle Vic ? »

J’eus juste le temps de déposer ma fourrure au vestiaire que 2 de mes copines trav me sautèrent dessus.

Elles me firent plein de compliment sur ma tenue : « Que tu es belle chérie, ce soir, ta robe, elle sculpte ton corps à merveille, magnifique !! »

« Et ces bottes, quelle hauteur de talon, tu nous étonneras toujours !!! » « Et tu as mis quoi sous ta robe ce soir ?» me dit Nadia avec un petit rire appuyé.

Nous continuâmes à parler chiffon, un bon moment.

Un bel homme accoudé au bar aux cheveux grisonnants me dévisagea longuement de haut en bas, avec un regard appuyé plein de désir.

Je lui fis un sourire.

Il n’y avait pas encore grand monde et le DJ qui connaissait notre (moi et mes copines) goût pour la disco enchaina une longue série très dansante.

Nous nous éclations sur la piste au milieu de quelques couples hétéros un peu moins démonstratifs que nous.

L’homme du bar continuait de me mater, j’avais l’impression qu’il me déshabillait littéralement et je decidais de passer à l’action.

Ça tombait bien, c’était juste avant une série de slows.

C’était mon type d’homme, la cinquantaine, grand, bien fait, habillé classe.

J’ai un faible pour les hommes murs, voire bien murs. En effet, je vous ai déjà dit dans une de mes premières confidences que c’est de un ces hommes murs qui a défloré mon cul et m’a fait découvrir les plaisirs de la chair.

Je viens me mettre juste à coté de lui près du bar, en commandant un gin tonic.

Il me regarde longuement et lâche : « C’est rare de voir une si belle femme en soirée et en plus toute seule ? »

Je fixa mon regard dans ses yeux en prenant mon verre, tout en déposant une de mes mains sur son genou : « Je suis libre ce soir ». A suivre ...

2221   13 année avant