Corinne29 Blog

Montré 1 à 5 de 9 Articles de blog.
  841 vues · 1804 jours avant

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RDV sur le site : trav-rencontre.com

J'aime bien :

- être traitée de tous les noms d'oiselles que vous connaissez...

- être fouettée et humiliée (en écolière, en soubrette, en putain...)

- être exhibée, avec mes minijupes ultra courtes, sans culotte !

- être abusée et vider les couilles des Mâles pervers, vicieux, agés !

  459 vues · 1877 jours avant

Tous les matins, à chaque fois que je m’habille, avant d'aller à l'école, l’éternelle question du port et du choix de la petite culotte se pose…

Je ne sais jamais si je vais être punie parce que j’en porte une ou au contraire parce que j’en ai pas !

Cependant, je trouve très agréable de me la faire arracher, (quand je traîne du coté des toilettes...) et qu'ils décident de me violer !

J'aime bien aussi, quand le Maître ou la Maîtresse me punit, après avoir reçu une fessée cul nu devant toute la classe, être mise au coin, la culotte descendue jusqu’au genoux pour une humiliation supplémentaire.

Mais quel bonheur aussi de sortir sans, les fesses libres sous une petite jupe qui vole au vent avec en permanence le sentiment de décadence et la honte d’être vue. De subir des mains baladeuses en public et les envies perverses de

vieux débauchés qui se croient tout permis !

  392 vues · 1881 jours avant

Je suis contente d'être inscrite à la Travacademy, même si je suis souvent punie et humiliée... Dans les 3 sections choisies, (pisseuse, soubrette, pute et soumise) j'ai beaucoup de copines qui, comme moi, recoivent des fessées cul nu, et parfois en public. Moi, cela ne me dérange pas trop car après ces corrections, je suis toujours plus gentille et plus obéissante...

Corinne (pute et soumise)

  556 vues · 3165 jours avant

Tous les matins, à chaque fois que je m’habille, l’éternelle question du port et du choix de la petite culotte se pose…Je ne sais jamais si je vais être punie parce que j’en porte une ou au contraire parce que j’en ai pas !

Cependant, je trouve très agréable de me la faire arracher, quand mon Maître décide de me violer ou alors, après avoir reçu une fessée cul nu, d’être mise au coin, la culotte descendue jusqu’au genoux pour une humiliation supplémentaire.

Mais quel bonheur aussi de sortir sans, les fesses libres sous une toute petite jupe qui vole au vent, avec en permanence, le sentiment de décadence et la honte d’être vue... De subir aussi les mains baladeuses de son Maître, en public, de son envie perverse à vouloir vérifier les traces de la cravache qu’il vous a administrée pour avoir "oublié" d'en mettre une !

  691 vues · 3239 jours avant

Il frappe consciencieusement, la première claque m’a stupéfaite, sa main est lourde et précise ; Il a déjà balayé d’un mot mes protestations et mes gémissements l’excitent plus qu’ils ne l’apitoient ! Allongée en travers de ses genoux, à l’ancienne, la culotte baissée et ma minijupe retroussée, j’ai la position idéale pour endurer une raclée magistrale tandis que je découvre une humiliation perverse, à accepter cette violente punition.

Quand après une petite centaine de coups, il s’arrête, je suis toute chaude… et déjà prête à recommencer. Mon Maître a les mains rouges et un sourire qui marque la satisfaction d’avoir pu se lâcher et me faire ainsi bénéficier de son appétit pour les corrections cul nu…

J’ai, par la suite, comparé le martinet et son supplice cinglant avec la cravache de dressage, libertine quand elle est correctement donnée et puis le paddle, très anglais…, la raquette, très efficace pour rougir le derrière, la brosse à cheveux, idéale pour dresser les pétasses à toute heure… la cane de bambou, qui chauffe les fesses longtemps après la sanction et le meilleur : les orties (malheureusement disponibles qu’une partie de l’année, snif !) qui enflamment encore pendant 48h la peau et rappellent avec humilité la torture.

A ce propos, c’est avec décadence et sans pudeur que j’ai accepté sans sollicitations de mes différents Maîtres, de compter à voix haute les coups reçus… J’ai même aujourd’hui poussé le vice à faire remplir au « bourreau » une fiche détaillée avec les différents châtiments qu’ils m’infligent et que j’agrémente d’une photo réalisée le lendemain ; ceci pour ne pas être influencée par l’ambiance de la soirée mais bien de l’importance de la raclée reçue.

Cependant, le plus surprenant fut la découverte des traces, zébrant mes fesses et parfois visibles 4 à 5 jours durant, avec les couleurs de l’arc en ciel en alternance.

J’ai eu plusieurs Maîtres, qui tous, ont eu avec et sur moi la main lourde…, « parce que je le vaux bien » ; mais ici je vais leur rendre hommage et gratitude. Tous ont eu la chance de pouvoir me fouetter, parfois attachée, parfois à l’extérieur, sur toutes les parties du corps avec tous les ustensiles possibles et imaginables ; ils ont eu aussi « sous la main » (très drôle), une petite salope gourmande, pas farouche, et fière de subir cette humiliation sur son joli petit cul (mais là, je me vante…).