un jour de grève de métro, j’avais réussi à monter dans une rame et je me retrouvais propulsée le dos contre la paroi coincée et collée tout contre un bel inconnu plutot mature . Plus que 10 stations avant de descendre !
Je m'assoupissai lorsque quelque chose me ramena à la réalité la main de mon vis à vis se glissait sur mes cuisses et une grosseur qui prenait du volume se frottait mon bas ventre.
Les mouvements répétés de la voiture,la proximité et les frottements contre mon corps l'avaient bien excité .
Et je trouvais la situation plutôt agréable. A ce que je pouvais sentir contre mon bassin, il devait avoir une sacrée belle queue ! Excitée par cette situation, mon sexe grossissait sous ma jupe plissée.Je glissais ma main doucement entre nos bassins pour palper la grosseur et la moiteur de sa bosse pendant que sa main glissait sous ma jupe.
J'ai défais sa ceinture baissé le plus discrètement possible la
braguette de son pantalon.
J’ai entrepris de caresser sa verge au travers de son caleçon moulant. je ne m’étais pas trompé ,il était rudement bien monté !
Je me mis à le caresser du bout des doigts et fut surpris de voir qu’elle pouvait encore grossir. Je sentis le bout humide de son gland glisser dans le creux de ma main. Je pris alors sa queue à pleine main et commença à la branler, tout doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Puis j’arrêtais mes mouvements de va et vient, retardant volontairement son plaisir. Il avait les yeux fermés, la mâchoire serrée, je savais qu’il espérait une délivrance rapide. Cette sensation ne faisait que rajouter à mon excitation.
Je repris mes mouvements de va et vient sur sa bite des mouvements très lents puis rapides. Je compris qu'il aller venir et je continuais ma branlette vicieuse, variant les mouvements.
Il s’était agrippé au bas de son veston qu’il empoignait de plus
en plus fort et je décidais alors de mettre fin à sa souffrance. Je
donnais un dernier coup de poignet et je sentis de longs jets chauds
venir inonder ma main et je fus pris moi-même d’une jouissance qui
ruisselait dans ma petite culotte.
Lorsque l’inconnu eu finit de se vider les couilles, le métro arrivait à la station à laquelle je devais descendre. J’arrivais à me frayer un chemin jusqu’en dehors de la voiture, laissant pantois mon inconnu.
Je rentrais chez moi en courant, ma mouille coulait le long de ma
cuisse. Chez moi je me jetais sur le lit tout habillée, souillée de
sa semence et je me suis caressée longuement, pour éjaculer de plusieurs jets brulants sur mon ventre .