Montré 1381 ŕ 1390 de 1422 Articles de blog.
Un samedi soir en hiver (6)

Presqu’en même temps, après un cri de jouissement sorti de sa gorge, il se retire, me retourne vivement, il a pincé sa queue, enlève le présa et éjacule sur mon visage, le premier jet de son sperme visqueux et épais dégouline sur mes yeux puis sur le col de mon manteau de fourrure. Ça l’excite, il essuie copieusement son sexe sur mon visage et me badigeonne de sperme mes lèvres. Il me force de nouveau à le prendre dans la bouche. Je m’exécute (je sais je prend des risques), j’ensère son sexe avec mes gants, il vient taper dans ma bouche et son jus coule encore, je n’en peux plus. Il a pris son pied moi aussi. Il se retire, essuie ses mains sur mon manteau, reboutonne son fut, me reroule un palot en me tapotant les fesses, me glisse sa carte dans la poche de mon manteau avec un « Ma belle salope de bourgeoise, c’est sur, tu es un bon coup ! » et s'enfuit dans la nuit noire me laissant dénudée dans le froid mais ravie. Je récupère tous mes vêtements et accessoires qui jonchent le sol : le string, la robe pull, le cardigan et mon écharpe. Je réajuste mes faux seins dans la guépière. Je ne ressemble plus à grand-chose. Heureusement, j'ai toujours dans mon sac un petit nécessaire de nettoyage et de maquillage. Je m'essuie le visage, mon sexe avec des lingettes, essuie le sperme de mes gants et du manteau. Je me rhabille et me refait une beauté avec mon petit miroir. Mon écharpe et mon col en fourrure sentent encore son sperme. Je m’asperge copieusement de parfum avant de repartir. C’est clair, j'ai sacrément mal au cul et je sens le sexe à plein nez malgré le parfum. Mince, c'est déjà 20 heures 30 et je suis plus qu'à la bourre pour la soirée. J'appelle mes copines, leur explique vite fait le pourquoi de mon retard, elles comprennent. C’est sûr maintenant plus personne ne m’arrêtera, quoique, ... Quel samedi. Fin

990   14 année avant
Un samedi soir en hiver (5)

A chacun de ses coups de boutoir, j’ai l’impression qu’il va me défoncer le cul. Je commence à avoir mal car c'est un bel étalon qui est entrain de me chevaucher. Il me pilonne en enfonçant sa bite au taquet.Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle qu’il réenfonce sa bite au fond de mon fourreau et vient taper au fond de mon cul. Mon collier de perles vient taper contre mon cou, mes 2 créoles viennent quant à elles battre la chamade sur ma joue. Tout ce cliquetis m’excite encore plus. Je suis obligée de freiner de ma main ses ardeurs afin de ne pas venir m’éclater le visage contre le muret tellement il est puissant. Puis d'une main il vient me pincer les tétons (j'en perd d'ailleurs dans la bataille mes 2 faux seins qui garnissaient ma guépière) et de l'autre il commence à me branler. C’est sur je vais pas tarder à exploser, lui non plus. Des locataires bruyants, des jeunes fetards passent rapidement dans la cour. Il interrompt ses coups de boutoir et reprend de plus belle dès le calme revenu. Au bout d'un moment, je n'y tiens plus, un grand râle sort de ma bouche et j'éjacule dans ses mains. Il a bien senti mais continue à me branler jusqu’à la dernière goutte. A suivre …

1265   14 année avant
Un samedi soir en hiver (4)

Il me demande de me relever, me plaque contre le muret de la cabane et enfonce sa langue dans ma bouche. Il dégraffe mon manteau de fourrure, déboutonne mon gilet et relève ma robe pull. Dans le froid, il me retire mon string et me demande de me retourner. Il s’agenouille, fouille mon trou avec sa langue. Ma chatte est épilée et parfumée de frais. Il m’enfonce un puis 2 doigts et m'astique le trou. Je pousse un petit cri de plaisir. Il me retourne de nouveau face à lui et me soulève comme une poupée. Il me tient par les fesses, j'enroule mes jambes autour de lui, la position n'est pas évidente et j'arrive à agripper mes 2 mains à une rambarde derrière moi près de la cabane. Sa queue s'enfonce d'un seul coup sans aucun mal dans ma chatte offerte et excitée qu’il a déjà dilaté. Je pousse un rale. Il a juste remonté ma robe pull et le gilet et me pilonne ainsi debout, ses mains larges plaquées sur mes fesses. Je suis empalée sur lui, mes sandales plateforme plaquées contre son dos, mes bas noués autour de son corps. Mes gants noirs s'agrippent à la rambarde derrière. Nos langues s'enroulent, il me pilonne dans cette position pas très confortable pour moi. C'est clair je prend mon pied, lui aussi. Un locataire passe dans la cour, mon beau noir se fait plus discret, il n'a rien vu. Mon amant reprend son pilonnage. Je commence à avoir chaud avec ma robe pull, le gilet, le manteau et l'écharpe. Il se retire, me dépose enfin sur le sol. ça tombe bien, je commencais à avoir des crampes aux bras.

Il me demande de me déshabiller (il a changé de ton et me traite comme sa petite pute). Il me demande de ne garder uniquement que mes sous-vêtements (guépière et bas), mes sandales et mon manteau. Je m'exécute, me déshabille dans le froid piquant, je dégouline de sueur, lui aussi. Je réenfile mon manteau de fourrure. Il me demande de me retourner.

Je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle qu'il soulève le pan de mon lourd manteau d’une main, je m’agrippe au mur et il se réenfonce à nouveau jusqu'à la garde, en me prenant maintenant par derrière. J'exulte. Il s’agrippe aux jaretelles de ma guépière et ses 2 boules vienner claquer contre mes fesses. A suivre ...

1025   14 année avant
Un samedi soir en hiver (3)

Il me prend par la taille, nous marchons sans un mot. Il est sacrément costaud. Il m'emmène dans une petite rue où il y a moins de passants. Il me roule une pelle en enfonçant sa langue au fond de ma bouche. Il me viole la bouche mais j'aime ça. J'enroule mes bras autour de sa nuque. Mon rouge à lèvre rouge tapisse son visage. Nous continuons à nous embrasser goulument. Il me plaque d’un seul coup dans le recoin d’un magasin, passe ses 2 mains sous mon manteau de fourrure et attrape mon sexe qu’il malaxe à pleine main. Il a compris que j'étais une femme un peu spéciale. Nous n'avons pas encore échangé un seul mot. Il me reprend par la main, me demande de le suivre. Nous passons un porche et débouchons dans une petite cour d'immeuble quasimment pas éclairée. Il me tire vers un recoin encore plus sombre derrière des massifs de fleur et une petite cabane où l’on range les poubelles. L’excitation de rencontrer quelqu’un est encore plus forte. Visiblement, il connait bien cet endroit. Il recommence à me peloter et me demande de lui faire une petite gaterie (enfin ses premières paroles). Je lui obéis, m'agenouille dans la pénombre, déboutonne son jean et fait sortir son sexe de belle taille. Il sent la transpiration mais je m'exécute, sort un préservatif de la poche de mon manteau (je suis toujours prévoyante en soirée) complètement excitée. Je lui enfile le présa avec ma bouche en le déroulant jusqu’à la base. Il est déjà gros.Je lui ensère sa hampe avec mon large col de fourrure et ma longue écharpe de laine, le tout avec mes mains gantées, je le branle tout en lui titillant le bout de son gland avec ma langue. J'avais remarqué que ma tenue lainage + fourrure ne le laissait pas indifférent, de la manière qu’il m’avait déjà pelotée. Il aime ça, je le regarde dans la pénombre. Son sexe continue à grossir. Je commence maintenant à enfourner sa bite dans ma bouche et je le pompe généreusement. J'astique son gland à grandes lampées et je lui fais même une de mes petites spécialités, une gorge profonde que j’ai du mal à réaliser tellement il est gros, j’enfourne avec du mal tout son engin jusqu'au fond de ma glotte. Mes machoires me font mal. Il prend ma tête à 2 mains et vient taper au fond de ma gorge. Je ne peux plus respirer. Il accélère et ses soupirs de délice me montrent qu'il adore. A suivre ...

1092   14 année avant
Un samedi soir en hiver (2)

Je marche dans la nuit noire pour aller prendre les transports en commun. Ce soir pas de voiture car je me la suis fait abimer dans un accident cette semaine. Mes talons claquent sur le trottoir, direction le bus. Quelques minutes d'attente dans le froid, délicieux de sentir ce vent glacé qui s'engouffre sous ma robe pull et vient titiller mon string. Je monte dans le bus bondé. Il démarre. Mon parfum ennivrant remplit l'atmosphère. Il y a beaucoup de monde, de la musique, ça parle fort, c'est samedi soir, quoi de plus normal. Je tourne la tête et aperçoit un beau jeune homme noir qui me matte avec insistance. Il me fait un petit clin d'oeuil et passe doucement sa langue sur ses lèvres. Visiblement, je lui plais, je suis un peu gênée mais excitée. Le bus s'arrête et continue à se remplir. J'avance vers le fond et me retrouve au redémarrage du bus coincé devant mon admirateur qui en profite pour se plaquer contre moi. Je sens son sexe dressé appuyer sur mon manteau de fourrure. Je ne sais pas ce qui me prend mais je me laisse faire. Les gens discutent autour de moi et ne font pas attention. Il me pelote les fesses, passe ses mains dans l'épaisse fourrure de mon manteau et je commence à onduler ma croupe sous ses caresses. Il devient encore plus insistant, se plaque encore plus et arrive même à passer sa main sous mon manteau de fourrure. Mon sexe qui était empaqueté comme d'habitude au fond de mon string commence à se réveiller. Il me fout un doigt dans le cul à travers la robe pull, je pousse un petit cri, je tourne ma tête pour le regarder, ce beau noir musculeux qui fait une tête de plus que moi. Il me fait une léchouille dans l'oreille. Je suis au bord de l'extase. Un petit vieux assis que je n'avais pas vu profite du spectacle. 3, 4, 5 arrêts plus tard, j'avoue que je ne les avais pas compté tellement mon cerveau avait déconnecté, mon peloteur appuit sur le prochain arrêt. Le bus s'arrête, il m'avais déjà prise. Je ne sais pas où je vais, je suis bien et je le suis. A suivre ....

3142   14 année avant
Un samedi soir en hiver (1)

Un samedi soir, au mois de janvier, 18h30, il fait froid et je me suis faite toute belle, je suis invitée à une soirée chez des copines. Guépière noire, bas noirs, string ficelle noir, sandales plateforme vernis noir 14 cm, robe pull col roulé sans manche grise mélange mohair - angora qui m'arrive à mi-genoux avec un long cardigan très doux boutonné et assorti, de longs gants en cuir noir couvrent mes mains aux ongles vernis, un de mes manteaux en fourrure,celui en renard avec un col gigantesque et des manches bien voluptueuses, emmitouflée dans une longue écharpe en grosse laine grise. Un long sautoir en perles fines, 2 bracelets assortis aux poignets et 2 lourdes créoles argentées suspendues aux oreilles, ce soir, j'ai enfilé ma perruque long carré noir avec frange. Un beau look de bourgeoise du 16ème, désirable à souhait. A suivre ...

1814   14 année avant
new shouses

j'ai franchit le pas, et ai de nouvelles chaussures, avec des talons bien sur,

pas facile a porter au début, mais on s'y fait vite

pourquoi avoir attendu si longtemps!!!

1126   14 année avant
Magasin de chaussures

J'avais repère dans la vitrine une superbe paire de talons auiguilles dans une boutique .

Je suis rentre aujourd'hui au début genee , j'ai demande a la commerçante a voir le modèle en vitrine , elle m' ademande la taille je lui ai dit gênée 41 ,elle m'asdis c'est pour vous,je lui ai dit oui , elle n'a rien dit mais mais après avoir apporter la paire m'a demander de me déchausser pour essayer, elle a vu mes collants voile noire , j'ai essaye la paire et jj'ai marche danslaboutique .Je le faisais des films et je me rends compte que cela se passe bien!

1447   14 année avant
rendez vous chez yves rocher

je vais mardi prochain me faire epilation integrale

2037   14 année avant
Une après midi en femme

Je suis sortie cet après midi e femme, j'ai mi perruque,bien maquillée avec une robe et bas noirs et talons aiguilles.

J'aiapprecie le fait que l ' on ne me devisagise pas

J'avais peur audebut et puis après cela été un réel plaisir que de sortir en femme

2423   14 année avant
Le Guide pratique du travestissement, par Olivia

Tout savoir pour se vêtir et se comporter en femme !

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