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Montré 16 ŕ 20 de 22 Articles de blog.
Sadness...

Pour celles qui ne sont pas anglophones, le titre signifie "tristesse".

Rassurez-vous mes chéries, je ne suis pas d'un naturel triste. Loin de là ! Et je ne suis plus triste au moment où j'écris ces lignes. Mais je l'ai été un peu ce matin lorsque, vers 8h et après avoir passé plus de 6 heures en femme, j'ai été obligée de quitter ces vêtements que j'aime tellement porter, les bijoux que je leur adjoint, le parfum capiteux que je porte souvent (rive gauche de St Laurent) et que, pour finir, il a fallu que je me démaquille et que j'enlève mes faux ongles...

Chaque fois qu'il faut que je passe cette épreuve, une immense tristesse m'envahit des pieds à la tête ! Et c'est le cas de le dire ! jugez vous-même :

Des pieds....

- plus d'escarpins

- plus de bas

- plus de jupe ou de robe

- plus de dessous

- plus de chemisier (si je portais une jupe)

à la tête...

- plus de perruque ni de bijoux

- plus de maquillage ni de parfum !

Exit ces atours que j'adore ! Retour à la "normale". Mon dieu que je hais ce terme !!! La normale ! Comme si il était normal de souffrir du fait qu'on ne peut pas porter ce qu'on aime ! Simplement parce que, dans notre société, il a été établi que les femme portent jupes, bas et talons délicats et que les hommes portent pantalons et chemises grossières. C'est chaque fois un moment très pénible à passer pour moi que d'être obligé de revenir de ce côté du miroir.

Je suis sure que nombre d'entre-vous seront d'accord pour dire que c'est injuste ! Qu'à cela ne tienne, il a bien fallu se faire une raison et reprendre le cours "normal" de la vie.

J'ai tout de même deux satisfactions :

- Lorsque mon épouse m'a vue en se levant, elle m'a dit "pas mal !!!" Le compliment suprême ! Le Saint Graal, selon moi !

- Je sais que dès que possible, je passerai à nouveau mes doux atours que j'aime tant.

Voilà ce qui me permet d'attendre et je sais que quelques-unes d'entre-vous ont cette chance de pouvoir se montrer à leur douce et tendre épouse.

Mais vous mes chéries... Justement, comment vivez-vous ces moments difficiles ? Ces moments où il faut impérativement retourner dans la vie "réelle". Celle-là même qu'on voudrait tout simplement plus douce. En la peuplant en toute liberté de créatures telles que nous. Comment vivez-vous ce douloureux passage, ce retour à quelque chose qui, il faut bien le reconnaître, ne nous correspond pas vraiment ?

Et si vous en parliez avec moi ?

Je vous embrasse toutes d'un baiser tendre dans le cou, sur le front ou sur la joue.

Claire

675   10 année avant
De choses et d'autres...

Coucou tout le monde !

Cette nuit, j'ai passé des moments extrêmement agréables en compagnies de mes copines Chriss et Pat. Je tenais à les en remercier par ce tout petit article car il est rare de pouvoir discuter de choses et d'autres (surtout d'autres, d'ailleurs) entre filles.

Elles sont merveilleuses et le moins que je pouvais faire était de leur rendre un petit (tout petit) hommage. Hommage qui ne me coûte que le temps que je passe à écrire ces quelques lignes.

Je le répète, ce fut pour moi un pur moment de plaisir. Et je crois sincèrement que ce plaisir fut partagé par mes amies. Il n'y a pas de doute, j'ai vraiment bien fait de les rejoindre et je renouvellerai aussi souvent qu'il me sera possible de le faire. Je n'étais même pas habillée et encore moins maquillée (je n'en avais pas eu le temps, pressée que j'étais de les rejoindre) mais qu'à cela ne tienne ! Je les ai rejointes et je ne regrette pas.

Merci Chriss de m'avoir ouvert la porte de ton salon de discussion et merci Pat d'avoir accepté 'être parmi mes contacts sur ce nouvel environnement pour moi.

Vous êtes des anges les filles et on remet ça quand vous voulez !

Je vous embrasse tendrement

Claire

379   10 année avant
Histoire de jambes.

Nylon, lycra, voile, opaques, à couture ou sans, top ou a porter avec un porte-jarretelles... J'aime les bas ! Je déteste les collants. Mais les bas !! Quel bonheur de porter ces voiles légers qui embellissent tant les jambes. Qu'ils soient noirs, bicolores, a motif ou en résille, les bas sont pour moi une délectation ! Sentir le vent le long de mes jambes lorsque je marche, le frottement léger d'une jupe ajustée ou non contre eux me transporte chaque fois. Mais j'ai une très nette préférence pour les bas nylon. Ils ne sont pas extensibles, certes, il font parfois des petits plis lorsqu'on les a porté un peu longtemps mais ils sont tellement beau et m'électrisent carrément ! Je me sens transportée lorsque j'en porte. Je me sens encore plus femme. Encore plus désirable, encore plus féline lorsque mes jambes en sont gainées. Bref, je me sens belle ! Et vous mes chéries. Quelles sont vos préférences ?

Je vous embrasse toutes tendrement.

Claire

648   10 année avant
Sortir en femme.

Laquelle d'entre-nous n'a jamais cette incomparable envie de sortir une fois vêtue, maquillée, parfumée ? Combien l'ont fait ? Et pour celles qui ont osé, quelle sensation ce fut que cette toute première fois où l'on se dit allez ma belle... Maintenant, lance-toi ! Ose !!!

Pour ma part, ce fut il y a bien longtemps ! Et cette sensation mêlée de peur, de plaisir, de sentiment de liberté. Cette adrénaline qui afflue au moindre bruit de pas ou de moteur. La toute première fois fut pour moi source de frissons incommensurables ! Tout d'abord, assouvir l'envie tenace d'être femme, même dans la rue. Ensuite, lorsqu'on y est, se dire qu'à chaque instant, on peut être surprise, reconnue, raillée voire même agressée procure une dose d'émotion que rien ne remplace. Et puis lorsqu'on a avancé suffisamment dans la rue, se dire que c'est trop bête d'être arrivée si loin de chez soi pour faire demi tour. C'est alors que la peur disparaît pour être remplacée par le plaisir, que l'angoisse fait place à cette délectation infinie de sentir le vent glisser le long de nos bas, ce bonheur d'entendre nos talons aiguille claquer sur le bitume des trottoirs que nous parcourons. J'aime se sentiment intense d'être réellement femme lorsque je sors. J'aime prendre ma voiture et rouler au hasard trouver des endroits en ville ou à la campagne où je pourrai marcher et ressentir ce bonheur indescriptible de me dire : "je suis encore une fois, moi-même". Cette féminité exacerbée qui nous habite ne peut être pleinement ressentie, selon moi, que lorsque je sors vêtue, maquillée, parfumée et parée de mes bijoux. J'aime être une femme autant que faire se peut. J'aime marcher dans la rue, j'adore le vent le long de mes jambes gainées de nylon léger et je suis amoureuse du petit bruit sec que font mes talons sur le bitume ou le béton.... Et vous mes chéries. Quand êtes-vous sorties pour la dernière fois ? Avez-vous tentée cette expérience unique d'être réellement une femme dans la rue ? Qu'avez-vous ressenti ? En avez-vous éprouvé du plaisir ?... Pourquoi ne pas en discuter ici ?

Bises tendres à toutes et tous.

Claire

888   10 année avant
Se découvrir femme !

Que de plaisir nous éprouvons chaque fois que nous revêtons ces effets qui nous plaisent tant ! Mais combien de chemin parcouru depuis la toute première fois. Combien d'obstacles franchis. Chaque fois plus difficile que les précédents ! Combien de peurs, petites ou grandes. Combien d'adrénaline lorsque, par peur d'être surprise en pleine action, nous tentons désespérément de nous cacher. Combien de petits mensonges pour cacher notre propension à aimer les tenues délicates que nos chères épouses portent en toute quiétude, elles. Et pourtant. Pourtant, le plus grand challenge que puisse affronter une Tgirl, est sans nul doute celui qui consiste à se lancer. Celui qui nous décide à tout avouer à celle qu'on aime. A lui expliquer avec des mots simples que ce n'est pas parce qu'on aime s'habiller en femme qu'on ne l'aime plus elle... Ce challenge, je l'ai vécu. J'ai énormément de chance car je suis marié à une femme formidable qui a tout de suite accepté ma "passion" qui M'A tout de suite acceptée telle que j'étais et pas tel qu'elle voulait que je sois. Nous sommes quelques une ici à vivre cette expérience extraordinaire de partager notre vie avec une épouse telle que la mienne. Mais pour celles qui n'ont pas encore osé, envisagent (ou non) de le faire, sont certaines que, de toute façon, avouer signifie l'échec de leur couple et sa destruction... Que diriez-vous d'en parler un peu avec moi ? Que penseriez-vous d'avoir un libre échange sur la question ? Sans arrière pensée. Simplement pour apporter une aide quelques fois précieuse dans une démarche d'honnêteté avec soi-même et avec celle qui a choisi (parce qu'elle nous a choisi également) de partager notre vie avec nos qualités mais aussi nos défauts.

Je vous embrasse toutes et tous tendrement.

Claire

1081   10 année avant