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Montré 16 ŕ 20 de 33 Articles de blog.
Soirée Discothèque (partie 3)

Vous savez aussi que je suis de nature frileuse et que j’ai une passion pour la fourrure. Mon choix final, ce soir là, vu que ma robe tube était particulièrement longue, porta donc sur un manteau en renard bleu somptueux et très enveloppant au col gigantesque (manteau que j'avais acheté à une vente aux enchères) d’une longueur de 170 cm cachant même le bout de mes bottes lorsque je marchais. Seuls les bouts de mes ongles manucurés dépassaient des manches très amples du manteau.

J’enfila le manteau, me parfuma amplement de Shalimar et fit glisser ma queue de cheval à l'extérieur du manteau.

Je m’admira une dernière fois dans la glace et me remis une retouche de mascara en haut et en bas de l’oeuil pour me redonner un regard encore plus glamour.

J’étais particulièrement femme ce soir.

J’attrapa ma besace fétiche LV et les clefs de ma mini austin. Je claqua la porte derrière moi et pris l’ascenseur direction le parking souterrain (le lourd parfum de Guerlain enveloppait l’ascenseur de son odeur ennivrante). La glace de l’ascenseur reflétait mon image de belle garce, désirable, le côté diablement salope amplifiée par le maquillage charbonneux et la perruque rousse tirée et coiffée en queue de cheval. Mes talons aiguilles résonnaient fort sur le béton du parking. Je releva le col de mon manteau de fourrure. Je m’assit délicatement sur le siège avant et avec ma main droite fit glisser mes jambes à l’intérieur de la voiture, pour ne pas abimer ma robe et le manteau de fourrure. Je me regardais une dernière fois dans le rétroviseur, parfaite. J’alluma le contact et m’enfonça dans la nuit noire, direction une de mes discothèques. A suivre ...

3826   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 2)

Mes jambes étaient gainées de cuissardes seconde peau Roberto Cavalli pointues en cuir noir cuir skinny avec un talon aiguille très fin en métal doré de 15cm sans plateforme (donc pas de triche possible et bonsoir la cambrure). Très femme fatale, ces cuissardes vertigineuses zippées de haut en bas collent à la peau et habillent entièrement la jambe, s’arrêtant tout en haut des cuisses, comme un véritable pantabotte (hauteur de tige = 70 cm pour les connaisseuses).

Ma robe tube était tellement moulante que l’on y devinait par transparence le haut des cuissardes et bien sûr le dessin de mon string.

Cette robe était très longue aussi et seuls une partie du talon aiguille doré et le bout pointu de la cuissarde y dépassaient.

Enfin j’avais habillé ma tenue par quelques accessoires qui me rendaient encore plus sexy et dominatrice: ma taille était enserrée par une ceinture en cuir noir très large YSL rivetée de clous dorés, un collier de chien large en cuir noir assorti à cette ceinture et riveté était serré autour de mon cou et de mon col roulé ; de plus, 2 larges bracelets de la même collection entouraient mes 2 poignets.

2 boucles d’oreille créole au format oversize (15 cm de diamètre) toujours YSL étaient suspendues à mes oreilles.

Enfin quelques grosses bagues en métal doré habillaient mes doigts aux longs ongles manucurés. A suivre ...

6988   13 année avant
Soirée Discothèque (partie 1)

J’avais passé beaucoup de temps à m’épiler puis à me maquiller et enduire mon corps entièrement de crème.

Ma peau était délicieusement douce et parfumée, même l’ouverture de mon anus n’avait pas été oubliée.

De très très longs ongles vernis terminaient mes doigts et affinaient mes mains (j’avais fait une french manucure l’après midi chez une amie).

J’avais emballé mon sexe sous un mini string en fines dentelles noires.

Un collant ouvert à grosses résilles noires soulignait mes courbes tout en sensualité.

Enfin 2 Faux seins lourds en silicone aux mamelons très réalistes étaient placés dans les bonnets d’un soutien gorge fin et invisible Lou et augmentaient généreusement le volume de ma poitrine.

J’avais revêtu une très longue perruque rousse que j’avais coifffée en queue de cheval, en tirant excessivement la chevelure.

La queue de cheval que j’avais bien relevée était haut perchée et dégageait mon visage pour un résultat délicieusement sophistiqué.

Le choix de la tenue avait été difficile dans mon dressing qui commencait à être véritablement trop petit.

Tout y était bien rangé et classé mais j’avais accumulé ces dernières années beaucoup de vêtements : une quantité d’ensembles de grands couturiers, des robes du soir et plusieurs manteaux classes (en lainage et diverses somptueuses fourrures), tous pendus sur des cintres. Une partie du dressing abritait aussi une belle collection de chaussures aux talons et cambrures vertigineuses (rien à moins de 12 cm) : escarpins, sandales, bottes et cuissardes.

Je vous l’ai déjà dit, j’ai une passion compulsive et dévorante pour la mode.

Vu que la lingerie que j’arborais ce soir-là était particulièrement fine, j’avais finalement opté pour une maxi robe tube Yves Saint Laurent terminée par un haut col roulé, sans manches, en fin lainage noir, une robe très très longue et très prêt du corps qui moulait à l’extrême ma silhouette, mettant en forme et en valeur ma poitrine bien rehaussée où l’on pouvait admirer par transparence 2 petits mamelons dressés et mes hanches, enserrées et corsetées dans ce lainage hyper moulant. A suivre ...

2344   13 année avant
Sabletrav de retour de vacances avec de nouvelles photos

Bientôt en ligne une de mes nouvelles confidences !!!

1134   13 année avant
L'allumeuse allumée (partie 7 et fin)

« C’est bien tu as été sage. Tu la sens ma queue elle est toute molle maintenant » Il frottait encore sa grosse bite contre mes fesses et le bas de mon manteau en fourrure. « Ahh. Je me suis régalé en me vidant dans ton cul et j’ai senti que je te faisais jouir salope. Je te relache et je vais garder un petit cadeau de toi en souvenir d’une trav docile et soumise, une beauté que j’ai défoncé en prenant bien mon pied. » J'entendis le bruit de sa braguette. "Ne te retourne pas bébé" Il claqua fortement sa main sur mes fesses, ramassa mon string, dessera les menottes, ouvrit la porte et me laissa souillée, du sperme plein les fesses.

Ma main gauche qu’il avait menotté était encore endolorie. J’arracha le chaterton de ma bouche. La peur m’avait extrêmement fatiguée et la position que j’avais du tenir pour résister à ses assauts, perchée sur mes hauts escarpins avait été très inconfortable mais bon, j’étais saine (quoique je m’étais fait violer sans protection …) et sauve.

Je ne réalisais pas encore la chance que j’avais eu de sortir indemne de cette rencontre.

Le stress évacué, c’est vrai que j’avais pris du plaisir à force de me faire limer, je pris mon sexe à la main qu’il avait délaissé et éjacula très rapidement en fermant les yeux de plaisir. Je me nettoya avec les quelques lingettes sorties de ma besace Vuitton, renfila ma mini-jupe et le corset, reboutonna mon long gilet. J'avais froid, le contr ecoup. Je me refis rapidement une beauté, un petit peu de poudre, du rouge à lèvre, je me réarrangea mon chignon en bataille, me blottit dans mon manteau en remontant se capuche. J’avais hate d’être chez moi, pour me doucher. Je passa la porte des toilettes en grelottant, le générique du film était entrain de se dérouler. La salle était encore noire. Je sortis rapidement dehors en faisant attention de ne pas trébucher. Je boitais et mon cul était un champ de bataille. Ce soir, j’étais vraiment exténuée mais est-ce que je ne l’avais pas un peu cherché ? Les défis que je m’étaient fixés ce soir-là avaient été conséquents mais je l’avais payé cash… A bientôt.

2839   13 année avant