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8 eme

Tandis qu’il secouait désormais sa queue dure pour faire tomber les dernières gouttes entre mes lèvres, je peinais à contenir dans ma bouche le foutre épais de Victor qui, de son côté, reprenait doucement ses esprits. A demi absent, il me caressait négligemment les cheveux, baladant ses doigts sur ma boucle d’oreille en métal argenté.

Comme une bonne chienne, je montrais à mon maître du jour que j’avais encore son sperme en bouche. Cette fois, je l’avalais doucement, comme si je voulais encore allumer l’homme visiblement repus devenu à moitié attentif.

De mon côté, j’étais plus concentrée que jamais. Mais je rêvais déjà de sentir cette belle bite me pénétrer le cul. Tout en me rasseyant sur la banquette en ajustant mon porte-jarretelles, je récupérais de la langue une goutte de sperme qui restait au coin de mes lèvres. Oui, vivement ce soir…

(à suivre…)

783   10 année avant
7 eme

Avaler notre propre sperme, ce serait une solution appréciable si seulement on pouvait rester excitée pendant. Et là, j’étais toujours excitée. Non, j’étais en transe. J’avais même envie de supplier… Je relevais la tête, branlant la bite avec mes deux mains jointes.

- Donne-moi ton sperme.

- Et bien, tu apprends vite Barbara ! Redis pour voir ?

- Je veux ton sperme, gicle dans ma bouche !

- Demande poliment !

- Je t’en supplie, balance tout ton sperme dans ma bouche de pute, s’il te plait !

- Très bien, je vais te faire plaisir sale petite trainée, poursuivit Victor en se branlant frénétiquement au dessus de mon visage, allez ouvre grand la bouche !

A genoux, les fesses posées sur mes escarpins, j’attendais ma récompense la bouche tellement ouverte que les muscles de mes joues commençaient à tirer. Pendant près d’une minute, alors que Victor rougissait et se masturbait de plus en plus vite, je restai là, comme une soumise en attente de foutre. Plus sa jouissance tardait, plus je mouillais ma culotte de me voir ainsi immobile et offerte comme une salope assoiffée.

Il n’y a qu’une grosse salope pour rester une minute sans bouger la bouche ouverte à s’en décrocher la mâchoire ! C’est que je ne voulais pas risquer d’en manquer. Là, recroquevillée dans l’habitacle de la voiture, la chose que je redoutais plus que tout était probablement que son sperme gicle en dehors de ma bouche.

Je voulais tout, jusqu’à la dernière goutte ! Alors plus les secondes défilaient, plus les râles de Victor s’accentuaient, plus j’ouvrais les lèvres en laissant échapper d’inaudibles soupirs de désir…

Je pensais : « Ce mec que je ne connais pas va gicler dans ma bouche, je vais boire tout son foutre et ça me fait bander comme une folle dans mon string. Je suis une vraie pédale finalement. Mais j’aime ça. Et puis non, je ne suis pas pédé. J’aime pas les hommes. Je n’aime pas les regarder, ni les toucher. Je ne veux que sa bite. La sucer, la manger et la sentir déverser son jus en moi. »

- Aaaaaaah, aaaaaaaaah, avale tout salooooooope !

Dans un ultime soupir rauque, Victor posa son gland directement sur ma langue tirée au maximum et gicla cinq ou six fois sa semence chaude dans ma gorge. Du sperme coulait sur mes gencives, mes dents, je sentais sa chaleur me parcourir les amygdales. Je gardais la bouche grande ouverte au cas où d’autres giclées arriveraient. C’était la fin, j’avais la bouche remplie. Elle débordait presque.

J’étais heureuse. Avaler ? Non pas tout de suite, pas encore.

Je veux profiter. Surtout pas déglutir. Ne pas risquer d’étouffer, ni avaler de travers.

631   10 année avant
6eme

J’aimais tellement que je ne pouvais plus m’en passer. Chaque semaine, plusieurs fois, plusieurs heures durant. Jusqu’à me donner des crampes à la mâchoire. J’étais tellement accro à la pipe que Julia me disait souvent en rigolant que « je paierais pour sucer ». Régulièrement, ce genre d’insultes humiliantes déclenchait chez moi de puissants orgasmes sans même que j’aie besoin de stimuler mon clito.

Sucer Victor était assez différent de mes godes. Aussi dur, aussi long, mais différent. Une vraie bite quoi. Cette fois, elle bougeait, elle frémissait. Je la sentais se contracter sous ma langue. Et quand je l’enfonçais au maximum, ça ne faisait pas mal. Au bout de quelques minutes, j’étais ailleurs.

Et je dois l’avouer aux anges. Je prodiguais ma toute première turlutte et je progressais chaque seconde. Affalé sur sa banquette, Victor ne ratait rien du spectacle. La bouche entrouverte, il me regardait fixement tandis que je lubrifiais son membre de ma salive et que je le pompais avec la régularité humide d’une star du X. Tout en m’activant de plus belle, je relevais parfois les yeux et croisais son regard. Pour m’assurer que tout allait bien, sans doute. Etre sûre de bien faire le travail. Sûre d’être une bonne pipeuse et de mériter mon salaire.

De temps en temps, je ralentissais. Pour respirer surtout et reposer mes lèvres. Pour profiter aussi. En léchant sa hampe sur toute sa longueur, en déposant sur son méat de petits baisers suaves, je me parlais intérieurement : « ça y est, je suce une bite. Elle est belle et j’adore sucer cette queue. Je pourrais continuer des heures c’est si bon. Je suis une pute. Une vraie petite pute… »

Maintenant, je voulais son sperme. Je voulais enfin sentir le liquide chaud couler dans ma gorge. Tant de fois, j’avais avalé le mien en essayant péniblement d’imaginer que c’était celui d’un autre. J’allais enfin pouvoir me délecter pour de vrai. Avaler du vrai sperme. Le sperme d’un autre, avec un autre goût. Un goût forcément meilleur, tous les hommes féminisés en rêvent.

561   10 année avant
5eme

- A quoi penses-tu quand tu te caresses, qu’est-ce qui t’excite ? Et bien j’attends ?

- Je rêve de prendre une queue dans ma bouche et de sentir du sperme couler dans ma gorge. Je rêve aussi de la sentir me pénétrer. Assez longtemps pour que je me sente complètement femme et que le plaisir m’emporte.

- Voilà un très bon début, me félicita Mr Victor. Nous avons environ 50 km à parcourir avant d’arriver à la maison. Si tu commençais maintenant ?

Tout en me déshabillant du regard, Victor portait la main à sa braguette qu’il descendait lentement. Il en extirpa son membre épais et déjà dur. Sur son gland lisse perlait même une goutte de liquide séminal. Tandis que je m’approchais de lui à quatre pattes sur la moquette du véhicule, il recueillit du doigt la goutte à l’extrémité de son sexe et tendit son index en ma direction. Sans vraiment y réfléchir, j’ouvris la bouche et entrepris de lécher le doigt délicatement quelques secondes. Et l’instant d’après, j’avais ma main au dessus de ses couilles, serrant sa bite de mes doigts fins et son gland rouge de désir entre mes lèvres. L’homme commençait à soupirer.

- Huuuum. C’est ça ma petite Barbara, c’est bien. Prends-moi tout entier dans ta bouche. Oui vas-y.

Je dégustais ma première pipe avec un bonheur et une excitation jamais ressentie. Son sexe ne sentait pas mauvais. En fait, il ne sentait rien. Les seules odeurs que je percevais étaient celles de mon propre rouge à lèvres qui commençait à se déposer sur sa queue et ce parfum sucré de pétasse dont ma femme m’avait copieusement vaporisé avant de partir.

Combien de fois avais-je sucé des godes à la maison habillé en chienne ? Combien d’heures à lécher et à engloutir le plus profond possible dans ma gorge ces sexes de latex ?

566   10 année avant
4 eme

devant la voiture

se tenait un homme en costume sombre. Il ouvrit la porte du monospace, saisit mon sac de voyage et m’invita à monter. Je relevai légèrement ma jupe découvrant une fraction de seconde l’attache de mes jarretelles, posai mon escarpin sur le rebord et pris place sur la banquette. On aurait dit une scène d’un film de Marc Dorcel…

Mr Victor me faisait face. Pantalon noir, chemise blanche, sa sobriété ne ternissait pas une personnalité naturellement charmeuse accentuée par un sourire coquin qui ne le quittait presque pas. La voiture aux vitre teintés démarra.

- Ouvre ton manteau, ordonna-t-il, sans même dire bonjour.

J’obéis sans un mot, dévoilant délicatement mon chemisier blanc transparent sous lequel explosait des prothèses 95C péniblement contenues par mon soutien-gorge noir fétiche. La perruque, les bijoux, l’odeur du maquillage, mes ongles rouges, mon string en dentelle qui me titillait la raie des fesses, je me sentais tellement femme qu’instinctivement j’eus le réflexe de croiser et de décroiser sensuellement les jambes, comme pour valider gestuellement la raison de ma présence et l’acceptation de ma mission.

- Tu es très belle Barbara. Je te l’ai dit, tu n’es obligée de rien faire. Je considère qu’une femme est cent fois plus intéressante quand elle est libre de choisir ce qui lui plait. Dis-moi ce qui te plait.

- Sexuellement ?

- Oui, tu es une pute. A quoi au juste servent les putes à ton avis ?

- Et bien…

- Je t’écoute.

- J’ignore ce qui me plait car je n’ai jamais touché un homme, mais…

- Mais je fantasme depuis longtemps sur certaines choses, avouai-je en piquant un fard.

532   10 année avant